Traducteur Google

Compléments


Ma collection de livres de Karl May en français



JE RECHERCHE LES ROMANS FRANCAIS MANQUANTS DE KARL MAY.
-----------------
Pour me contacter:
[email protected]

La première série de livres a été publiée par Alfred Mâme et Fils plusieurs années avant que les récits de voyage de Karl May soient renommés en Allemagne. Jusque dans les années 1930 (à part deux titres publiés ailleurs après 1890) c'est Mame qui publiera les oeuvres de Karl May en France. Ce n'est qu'après que Flammarion s'intéressera à la production de l'auteur allemand autour du fameux Winnetou.
Si les traductions de J. De Rochay sont assez fidèles aux originaux, il est à noter que par la suite les traductions françaises sont quelquefois incomplètes (des passages jugés sans importance sont supprimés) voire inexactes. Les textes sont mis à la sauce française et les héros qui sont allemands dans la version de Karl May deviennent souvent français dans les oeuvres traduites chez Flammarion. Karl May est d'ailleurs devenu Charles May.
 


  Fond rouge : livre manquant   Fond vert : Ebook disponible (clic sur le lien)

Pour plus d'informations sur le livre cliquer sur la couverture.

Editions Mame et Fils avant 1900


La vengeance du Farmer

La vengeance du Farmer


N° imprimeur : 20709 - 237 pages - 1890 - Quatrième édition. Taille : 24 x 16 cm.


Souvenir d'Amérique par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay et illustrations de divers artistes.
Traduction de l'épisode "Sans-Ear" de Winnetou III.

Préface de J. DE ROCHAY.


L’intrépide et spirituel voyageur dont nous traduisons les émouvants récits nous affirmait un jour que pas un trait de sa narration n’a été inventé. Il raconte ce qu’il a vécu ou éprouvé ; entraîné par ses souvenirs, il s’arrête rarement aux réflexions. Les moeurs du nouveau monde, qu’il a longtemps parcouru, ne l’étonnent plus d’ailleurs ; il les peint dans tout leur naturel. Ces mœurs, quoi qu’en disent les enthousiastes de la jeune civilisation américaine, valent souvent moins que les nôtres ; elles descendent jusqu’à la plus brutale sauvagerie, quand il s’agit de la vengeance personnelle ou collective. Les barbares exécutions du lynch prouvent suffisamment notre assertion.
Un christianisme mutilé comme celui qui se rencontre trop fréquemment dans ce pays est impuisant à maintenir le divin précepte du pardon. Entre l’Ancien Testament, où il trouve formulée la loi du talion : « Œil pour œil, dent pour dent, » et la parole évangélique : « Faites du bien à celui qui vous fait du mal, » le sentiment humain abandonné à lui-même n’hésitera jamais. Quand on a arraché la croix de la main du chrétien, on a arraché aussi la miséricorde de son cœur ; l’homme régénéré est retourné à la férocité antique ou sauvage. Ce ne sont pas les théories modernes de philanthropie, de tolérance, d’altruisme, d’irresponsabilité dans le crime qui triompheront des haines ni des rancunes, après que la charité aura été bannie.
La soif de l’or, celle de la vengeance, les deux plus terribles passions du Yankee ou de l’aventurier des savanes, sont ici représentées avec toute leur horreur ; cependant le héros de M. May pourrait invoquer une circonstance atténuante dans l’acharnement de sa haine, s’il songeait à excuser ce qui lui paraît si légitime. En poursuivant une vengeance personnelle, en cherchant à se faire justice lui-même au milieu des déserts, où la justice légale ne pénètre guère, le malheureux Sans-Ear sait qu’il délivrera la contrée de brigands de la pire espèce. C’est ce motif qui détermine Shatterhand, notre vaillant trappeur, malgré son attachement aux principes catholiques, à prêter son concours pour cette chasse à l’homme, si cruelle, si acharnée.
Cette explication nous semblait utile avant de laisser la parole à M. May ; nous nous garderons ensuite de l’interrompre, et, sauf quelques légères modifications indispensables pour la clarté du récit, nous resterons aussi fidèle que possible au texte de ses souvenirs, publiés en Allemagne sous le titre de Deadly Dust, en 1880.

Les pirates de la mer rouge

Les pirates de la mer rouge


N° éditeur : 22931 - Tours, impr. Mame - 365 pages - 1892. Taille : 27 x 17 cm.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustrations de Fortuné Louis Méaulle en frontispice, gravures de plusieurs artistes.
Traduction de : "Durch die Wuste" chapitres 1 à 10.

Nota : Ce volume regroupe Les pirates de la mer rouge et Un paladin du désert.


Préface de J. DE ROCHAY.


Les récits de voyage, toujours aimés du public, ne furent jamais si recherchés qu’à présent. Ils servent à la vulgarisation des connaissances géographiques; pour les rendre attrayants, on y a mêlé le roman ou les aventures extraordinaires, essayant de substituer ce genre de littérature aux contes et aux nouvelles.
C’est pour répondre à un goût, presque à un besoin devenu si général, que nous avons entrepris la traduction de la longue série des voyages de M. May. Il nous a semblé que le style du narrateur serait apprécié en France ; que ses dialogues, si vifs, si naturels, si amusants, plairaient ; que sa verve, son caractère aventureux, sa brillante imagination le rendraient sympathique malgré sa nationalité, et ces qualités-là, nous nous sommes efforcé de les mettre dans tout leur jour en les exprimant dans notre langue.
Si M. May écrit sans prétentions pédagogiques, s’il laisse un libre cours à son imagination dans les récits de ses rencontres ou de ses aventures, ses descriptions, ses renseignements sont toujours exacts et instructifs. Il a visité l’Amérique, l’Océanie, l’Afrique, l’Asie, et nous espérons bien l’y accompagner successivement ; mais de tous ses voyages, celui qui semble avoir laissé à notre auteur les plus vifs souvenirs et l’inspirer davantage, c’est l’exploration publiée sous le titre de Giolgeda Padischanun : A l’ombre du Padischah. A part la terre sainte, que le voyageur n’a point vue, ou dont il n’essaye pas du moins de nous redire les émotions après tant de pèlerins, M. May parcourt presque toutes les contrées sur lesquelles s’étend la domination ottomane.
Il s’arrête « aux lieux ou furent Babylone et Ninive », se rappelant les magnifiques accents des prophètes ; il les répète avec respect devant ces pierres dispersées sous la malédiction divine !
Les aventures qui arrivent au voyageur ne se lient point tellement l’une à l’autre, qu’il ne soit aisé de les diviser, comme nous le faisons, en plusieurs épisodes distincts ; cependant elles forment un ensemble qu’on voudra lire, croyons-nous, quand une fois on aura fait connaissance avec l’intéressant narrateur et son naïf compagnon arabe.
Dans ce volume, nous suivons M. May à travers les chotts de la Tunisie ; en Égypte, où il navigue sur le Nil ; enfin sur les bords de la mer Rouge, où une rencontre très dramatique avec les pirates de ces parages lui fournit une curieuse étude de mœurs.
Le vieux traducteur de Plutarque parle « du plaisir d’écouter ceux qui reviennent de loin racontant les choses qu’ils ont vues en estrange pays, les mœurs des hommes, la nature des lieux, les façons de vivre différentes des nostres. » Ces récits, ajoute-t-il, nous passionnent de joie, de peur ou d’espérance, ni plus ni moins que si nous estions presque sur le fait, sans estre en aucun danger. Puisse notre traduction procurer ces sensations à nos lecteurs, et les tant « ravir d’aise qu’elle leur fasse oublier les heures », comme dit le bon Amyot ! Puisse-t-elle surtout leur fournir une distraction instructive et saine !

Une visite au pays du diable

Une visite au pays du diable


N° 25657 - Tours, impr. Mame - 367 pages - 1895 - 1re SERIE GRAND IN-8° - tranches dorées. Taille : 26,5 x 18 cm.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustrations de Pichot, de Tofani et de L. Rousseau.
Traduction de : "Durch die Wuste" pages 496 à la fin et "Durchs wilde Kurdistan" pages 1 à 372.

Nota : Ce volume regroupe Une visite au pays du diable et Les géoliers du grand seigneur.


Préface de J. DE ROCHAY.


Après avoir parcouru la Tunisie, traversé l’Égypte, visité la Mecque et pris part aux combats d’une tribu arabe, le voyageur dont nous traduisons les curieux récits continue sa route jusque sur les frontières de la Perse, en passant par le Kurdistan.
Il séjourne chez les Yésidi, dont il étudie les mœurs et le culte d’une façon très intéressante, s’efforçant de défendre cette peuplade contre les reproches des musulmans. Ceux-ci accusent les Yésidi d’adorer le diable. Si les Turcs ne tombent point dans une pareille idolâtrie, on peut les compter, du moins, parmi les plus fervents adorateurs de Mammon. M. May nous fournit sur la rapacité, la corruption, l’avilissement de leurs fonctionnaires, des détails qu’on appellerait amusants, si une pareille bassesse dans les caractères pouvait jamais l’être. Ces détails portent avec eux leur leçon : ils font juger de la moralité de cette religion musulmane, que des chrétiens n’ont pas eu honte de vanter.
Voyageant à l'ombre du sultan ou du Padischah, c’est-à-dire avec un sauf-conduit de la Sublime Porte, notre auteur parcourt presque toutes les contrées qui relèvent du gouvernement de Constantinople ; il se trouve ainsi en contact avec toutes les formes du mahométisme, et mieux placé que personne pour en parler sciemment.
M. May, pendant sa longue exploration, ne se sépare jamais d’un serviteur fidèle, un Arabe du désert, qui ne manque pas de finesse dans sa naïveté, et dont le Coran n’a point altéré l’excellente nature. Il a aussi pour compagnons un riche Anglais et le cheikh de la tribu des Haddedîn. L’Anglais s’est mis en tête de découvrir, parmi les ruines de Ninive ou de Babylone, un taureau ailé, un fowling-bull, pour en faire présent au British Muséum. Le chef bédouin, auquel notre voyageur vient de procurer une éclatante victoire sur des tribus rivales, se rend à Amadiah, afin de tenter la délivrance de son fils, prisonnier des Turcs.
Les lecteurs des premiers épisodes du voyage de M. May, compris sous le titre : les Pirates de la mer Rouge, trouveront, nous l’espérons, que ceux-ci ne le cèdent nullement en intérêt aux précédents.

La caravane de la mort

La caravane de la mort


N° 26734 - Tours, impr. Mame - 376 pages - 1897 - 1re SERIE GRAND IN-8° - tranches dorées. Taille : 27 x 17 cm.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - 49 gravures d'après Meyer et Zier.
Traduction de : "Durchs wilde Kurdistan" pages 373 à la fin et "Von Bagdad nach Stambul" pages 1 à 347.

Nota : Ce volume regroupe La caravane de la mort et La voix de la caverne.


Préface de J. DE ROCHAY.


Sous le titre de la Caravane de la mort, nous publions la traduction d’un nouvel épisode des voyages de Karl May. Muni d’un passeport de la Sublime Porte et marchant à l'ombre du Padischah, notre explorateur a parcouru déjà une grande partie des contrées tributaires de la puissance ottomane. Il a traversé les dangereux chotts de la Tunisie ; il a vu les bords de la mer Rouge, du Nil, de l’Euphrate et du Tigre ; il s’est arrêté chez un curieux petit peuple, les Yésidi, qui lui ont fourni une étude des plus intéressantes ; il nous a raconté les misères et les vexations du fonctionnarisme turc. Dans ce volume, nous suivrons le voyageur chez les Kurdes et, à travers les monts Zagros, jusqu’aux frontières persanes ; nous verrons défiler, sous les murs de Bagdad, la sombre caravane qui va célébrer la mort d’Husseïn par de si lugubres cérémonies. Cette caravane, composée de musulmans fanatisés, la plupart faméliques, et portant avec eux les cadavres de leurs proches, afin de les enterrer dans la terre sacrée de Kerbela, répand sur son passage les germes de la peste.
Le voyageur, que cette terrible maladie n’épargne pas, trouve, pour peindre de pareilles scènes, des couleurs d’un réalisme saisissant. Certains de ses tableaux ne sauraient plus s’oublier dès qu’ils ont passé sous les yeux du lecteur.
Dans ce nouvel épisode, le fidèle Halef, ce naïf enfant du désert, dont le dévouement persiste au milieu de toutes les épreuves, reste toujours aux côtés de son maître. Deux chefs de tribu, le vieux Mohammed et son fils, ce dernier arraché aux prisons turques par M. May, font avec lui une partie du chemin, ainsi que le bon master David Lindsay, un Anglais riche, original et entreprenant. Notre voyageur rencontre encore d’autres compagnons : des Persans au caractère sympathique, « vrais Français d’Orient », comme s’exprime l’auteur. La tragique histoire de ces derniers venus se mêle aux horreurs du pèlerinage de Kerbela. En voilà assez, ce nous semble, pour exciter l’intérêt.
Ces épisodes peuvent être signalés comme les plus frappants, les plus dramatiques parmi ceux que M. May raconte avec autant de verve que de talent.

Une maison mystérieuse à Stamboul

Une maison mystérieuse à Stamboul


N° imprimeur : 16498 - Tours, impr. Mame - 376 pages - 1886 - tranches dorées. Taille : 18 x 12 cm. 2 pages publicitaires avec numéro impression : 16509.


Souvenir de voyage, traduit par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustré de 15 gravures d'après Meyer, Gervais, Lix et Gérardin.
Traduction de : "Von Bagdad nach Stambul" pages 348 à la fin.

Nota : Ce volume regroupe Une maison mystérieuse à Stamboul et Un bandit insaisissable.


Préface de J. DE ROCHAY.


Les voyages de M. Karl May dans le Levant ont déjà rempli trois volumes de cette collection. Ces volumes s'intitulent : les Pirates de la mer Rouge, Une Visite au pays du diable et la Caravane de la mort. Quoique ces ouvrages puissent se lire séparément, ils ont ensemble une liaison que nous tenons à renouer par un court avant propos placé en tête de chaque volume. Dans celui que nous publions aujourd'hui, notre narrateur, après avoir failli mourir de la peste aux environs de Bagdad, reprend le cours de ses pérégrinations, se rend à Damas, à Balbek, puis à Constantinople, autrement dit Stamboul, où l'attendent de nouvelles aventures non moins émouvantes que les premières.
Avant de laisser l'auteur les raconter, nous rappellerons qu'il voyage avec un Arabe du désert, son serviteur, presque son ami, l'intelligent, le dévoué, le brave petit Halef, dont le caractère, les reparties aussi fines que naïves, ne sont pas un des moindres attraits du récit. Notre explorateur a été accompagné dans une grande partie du chemin par un riche Anglais, original et bon enfant, sir David Lindsay. Brusquement séparé de ce dernier pendant sa terrible maladie, M. May n’est pas sans inquiétude sur le son de l’insulaire, tombé peut-être entre les mains de quelques Arabes maraudeurs.
Dans le volume intitulé Une Visite au pays du diable, M. Karl May a raconté son séjour à Amadiah, où il s’était rendu pour tenter de délivrer Amad el Ghandour, le fils de Mohammed Emin, ce vieux chef des Haddedin avec lequel notre voyageur avait contracté un pacte d’amitié. C’est à Amadiah, et plus tard en traversant les pays kurdes, qu’il fait connaissance d’une femme remarquable et singulière, la célèbre centenaire Marah Dourimée. Elle descend des anciens rois de ces contrées, et s’est acquis par ses vertus un pouvoir mystérieux sur les peuples crédules de la contrée. On l’appelle le Rouh Koulyan, « l’Esprit de la caverne. » Marah Dourimée professe le christianisme au milieu d’une population entièrement mahométane. Sa rencontre avec un Européen catholique lui inspire une profonde sympathie pour le voyageur. C’est à sa maternelle sollicitude que M. May doit les moyens de continuer sa route sans avoir à y souffrir trop de privations.
Quant aux autres personnages qui reparaissent au courant du présent volume : Ibrahim Mamour, Isla ben Mafleï, Hanneh, Senitza, etc., leurs antécédents se trouvent assez indiqués pour qu’il soit inutile de nous y arrêter.
Ces nouveaux épisodes nous ont paru aussi intéressants que ceux qui précédent : même agrément dans la narration, même intérêt toujours soutenu, même naturel, même vivacité dans les dialogues. Ce quatrième volume offrira, comme les trois autres, une lecture amusante, instructive, saine surtout. Aussi la pensée d’ajouter un ouvrage de plus à la liste des publications honnêtes et chrétiennes nous a-t-elle encouragé dans le labeur de cette longue traduction.
Contribuer, pour une part si modeste qu’elle soit, au bien que peut produire la bonne presse, est une des meilleures joies d’ici-bas. Nous souhaitons, pour eux et pour nous, que nos lecteurs nous la donnent.

La vengeance du farmer

Les pirates de la mer rouge

Une visite au pays du diable

La caravane de la mort

Une maison mystérieuse à Stamboul


Les livres électroniques proposés ci-dessus sont basés sur les éditions de 1890, 1892, 1895, 1897 et 1886 pour "Une maison mystérieuse à Stamboul". Dans les éditions des années 30, de nombreux passages ne contribuant pas directement à l’action ont été supprimés. Il s’agit souvent de descriptions de paysage et de référence à l’Islam. Toute l’ambiance orientale disparaît pour ne laisser place qu’a l’action. Ces nombreuses coupures dénaturent un peu l’œuvre de Karl May. Un exemple de ces coupures est donné dans l'Ebook "La caravane de la mort". Les passages entre « --- et --- » ne figurent plus dans l'édition parue dans les années 30.


Editions Mame et Fils après 1900


Les pirates de la mer rouge

Les pirates de la mer rouge


N° éditeur : 42 - N° imprimeur : 45597 - 1938 Tours, impr. Mame - 393 pages.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay.
Traduction de : "Durch die Wuste" chapitres 1 à 10.

Nota : Ce volume regroupe Les pirates de la mer rouge et Un paladin du désert.


Préface de J. DE ROCHAY.


Les pirates de la mer rougeLes récits de voyage, toujours aimés du public, ne furent jamais si recherchés qu’à présent. Ils servent à la vulgarisation des connaissances géographiques; pour les rendre attrayants, on y a mêlé le roman ou les aventures extraordinaires, essayant de substituer ce genre de littérature aux contes et aux nouvelles.
C’est pour répondre à un goût, presque à un besoin devenu si général, que nous avons entrepris la traduction de la longue série des voyages de M. May. Il nous a semblé que le style du narrateur serait apprécié en France ; que ses dialogues, si vifs, si naturels, si amusants, plairaient ; que sa verve, son caractère aventureux, sa brillante imagination le rendraient sympathique malgré sa nationalité, et ces qualités-là, nous nous sommes efforcé de les mettre dans tout leur jour en les exprimant dans notre langue.
Si M. May écrit sans prétentions pédagogiques, s’il laisse un libre cours à son imagination dans les récits de ses rencontres ou de ses aventures, ses descriptions, ses renseignements sont toujours exacts et instructifs. Il a visité l’Amérique, l’Océanie, l’Afrique, l’Asie, et nous espérons bien l’y accompagner successivement ; mais de tous ses voyages, celui qui semble avoir laissé à notre auteur les plus vifs souvenirs et l’inspirer davantage, c’est l’exploration publiée sous le titre de Giolgeda Padischanun : A l’ombre du Padischah. A part la terre sainte, que le voyageur n’a point vue, ou dont il n’essaye pas du moins de nous redire les émotions après tant de pèlerins, M. May parcourt presque toutes les contrées sur lesquelles s’étend la domination ottomane.
Il s’arrête « aux lieux ou furent Babylone et Ninive », se rappelant les magnifiques accents des prophètes ; il les répète avec respect devant ces pierres dispersées sous la malédiction divine !
Les aventures qui arrivent au voyageur ne se lient point tellement l’une à l’autre, qu’il ne soit aisé de les diviser, comme nous le faisons, en plusieurs épisodes distincts ; cependant elles forment un ensemble qu’on voudra lire, croyons-nous, quand une fois on aura fait connaissance avec l’intéressant narrateur et son naïf compagnon arabe.
Dans ce volume, nous suivons M. May à travers les chotts de la Tunisie ; en Égypte, où il navigue sur le Nil ; enfin sur les bords de la mer Rouge, où une rencontre très dramatique avec les pirates de ces parages lui fournit une curieuse étude de mœurs.
Le vieux traducteur de Plutarque parle « du plaisir d’écouter ceux qui reviennent de loin racontant les choses qu’ils ont vues en estrange pays, les mœurs des hommes, la nature des lieux, les façons de vivre différentes des nostres. » Ces récits, ajoute-t-il, nous passionnent de joie, de peur ou d’espérance, ni plus ni moins que si nous estions presque sur le fait, sans estre en aucun danger. Puisse notre traduction procurer ces sensations à nos lecteurs, et les tant « ravir d’aise qu’elle leur fasse oublier les heures », comme dit le bon Amyot ! Puisse-t-elle surtout leur fournir une distraction instructive et saine !

Une visite au pays du diable

Une visite au pays du diable


N° éditeur : 47 - N° imprimeur : 44793 - 1935 Tours, impr. Mame - 410 pages.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustrations de Tofani.
Traduction de : "Durch die Wuste" pages 496 à la fin et "Durchs wilde Kurdistan" pages 1 à 372.
Nota : Ce volume regroupe Une visite au pays du diable et Les géoliers du grand seigneur.


Préface de J. DE ROCHAY.


Après avoir parcouru la Tunisie, traversé l’Égypte, visité la Mecque et pris part aux combats d’une tribu arabe, le voyageur dont nous traduisons les curieux récits continue sa route jusque sur les frontières de la Perse, en passant par le Kurdistan.
Il séjourne chez les Yésidi, dont il étudie les mœurs et le culte d’une façon très intéressante, s’efforçant de défendre cette peuplade contre les reproches des musulmans. Ceux-ci accusent les Yésidi d’adorer le diable. Si les Turcs ne tombent point dans une pareille idolâtrie, on peut les compter, du moins, parmi les plus fervents adorateurs de Mammon. M. May nous fournit sur la rapacité, la corruption, l’avilissement de leurs fonctionnaires, des détails qu’on appellerait amusants, si une pareille bassesse dans les caractères pouvait jamais l’être. Ces détails portent avec eux leur leçon : ils font juger de la moralité de cette religion musulmane, que des chrétiens n’ont pas eu honte de vanter.
Voyageant à l'ombre du sultan ou du Padischah, c’est-à-dire avec un sauf-conduit de la Sublime Porte, notre auteur parcourt presque toutes les contrées qui relèvent du gouvernement de Constantinople ; il se trouve ainsi en contact avec toutes les formes du mahométisme, et mieux placé que personne pour en parler sciemment.
M. May, pendant sa longue exploration, ne se sépare jamais d’un serviteur fidèle, un Arabe du désert, qui ne manque pas de finesse dans sa naïveté, et dont le Coran n’a point altéré l’excellente nature. Il a aussi pour compagnons un riche Anglais et le cheikh de la tribu des Haddedîn. L’Anglais s’est mis en tête de découvrir, parmi les ruines de Ninive ou de Babylone, un taureau ailé, un fowling-bull, pour en faire présent au British Muséum. Le chef bédouin, auquel notre voyageur vient de procurer une éclatante victoire sur des tribus rivales, se rend à Amadiah, afin de tenter la délivrance de son fils, prisonnier des Turcs.
Les lecteurs des premiers épisodes du voyage de M. May, compris sous le titre : les Pirates de la mer Rouge, trouveront, nous l’espérons, que ceux-ci ne le cèdent nullement en intérêt aux précédents.

La caravane de la mort

La caravane de la mort


N° éditeur : 56 - N° imprimeur : 44700 - 1935 Tours, impr. Mame - 420 pages.


Souvenir de voyage par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustrations de Meyer.
Traduction de : "Durchs wilde Kurdistan" pages 373 à la fin et "Von Bagdad nach Stambul" pages 1 à 347.


Préface de J. DE ROCHAY.


Sous le titre de la Caravane de la mort, nous publions la traduction d’un nouvel épisode des voyages de Karl May. Muni d’un passeport de la Sublime Porte et marchant à l'ombre du Padischah, notre explorateur a parcouru déjà une grande partie des contrées tributaires de la puissance ottomane. Il a traversé les dangereux chotts de la Tunisie ; il a vu les bords de la mer Rouge, du Nil, de l’Euphrate et du Tigre ; il s’est arrêté chez un curieux petit peuple, les Yésidi, qui lui ont fourni une étude des plus intéressantes ; il nous a raconté les misères et les vexations du fonctionnarisme turc. Dans ce volume, nous suivrons le voyageur chez les Kurdes et, à travers les monts Zagros, jusqu’aux frontières persanes ; nous verrons défiler, sous les murs de Bagdad, la sombre caravane qui va célébrer la mort d’Husseïn par de si lugubres cérémonies. Cette caravane, composée de musulmans fanatisés, la plupart faméliques, et portant avec eux les cadavres de leurs proches, afin de les enterrer dans la terre sacrée de Kerbela, répand sur son passage les germes de la peste.
Le voyageur, que cette terrible maladie n’épargne pas, trouve, pour peindre de pareilles scènes, des couleurs d’un réalisme saisissant. Certains de ses tableaux ne sauraient plus s’oublier dès qu’ils ont passé sous les yeux du lecteur.
Dans ce nouvel épisode, le fidèle Halef, ce naïf enfant du désert, dont le dévouement persiste au milieu de toutes les épreuves, reste toujours aux côtés de son maître. Deux chefs de tribu, le vieux Mohammed et son fils, ce dernier arraché aux prisons turques par M. May, font avec lui une partie du chemin, ainsi que le bon master David Lindsay, un Anglais riche, original et entreprenant. Notre voyageur rencontre encore d’autres compagnons : des Persans au caractère sympathique, « vrais Français d’Orient », comme s’exprime l’auteur. La tragique histoire de ces derniers venus se mêle aux horreurs du pèlerinage de Kerbela. En voilà assez, ce nous semble, pour exciter l’intérêt.
Ces épisodes peuvent être signalés comme les plus frappants, les plus dramatiques parmi ceux que M. May raconte avec autant de verve que de talent.

Une maison mystérieuse à Stamboul

Une maison mystérieuse à Stamboul


N° éditeur : 70 - N° imprimeur : 43377 - 1931 Tours, impr. Mame - 328 pages.


Souvenir de voyage, traduit par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay - Illustrations de Gervais.
Traduction de : "Von Bagdad nach Stambul" pages 348 à la fin.

Nota : Ce volume regroupe Une maison mystérieuse à Stamboul et Un bandit insaisissable.


Préface de J. DE ROCHAY.


Les voyages de M. Karl May dans le Levant ont déjà rempli trois volumes de cette collection. Ces volumes s'intitulent : les Pirates de la mer Rouge, Une Visite au pays du diable et la Caravane de la mort. Quoique ces ouvrages puissent se lire séparément, ils ont ensemble une liaison que nous tenons à renouer par un court avant propos placé en tête de chaque volume. Dans celui que nous publions aujourd'hui, notre narrateur, après avoir failli mourir de la peste aux environs de Bagdad, reprend le cours de ses pérégrinations, se rend à Damas, à Balbek, puis à Constantinople, autrement dit Stamboul, où l'attendent de nouvelles aventures non moins émouvantes que les premières.
Avant de laisser l'auteur les raconter, nous rappellerons qu'il voyage avec un Arabe du désert, son serviteur, presque son ami, l'intelligent, le dévoué, le brave petit Halef, dont le caractère, les reparties aussi fines que naïves, ne sont pas un des moindres attraits du récit. Notre explorateur a été accompagné dans une grande partie du chemin par un riche Anglais, original et bon enfant, sir David Lindsay. Brusquement séparé de ce dernier pendant sa terrible maladie, M. May n’est pas sans inquiétude sur le son de l’insulaire, tombé peut-être entre les mains de quelques Arabes maraudeurs.
Dans le volume intitulé Une Visite au pays du diable, M. Karl May a raconté son séjour à Amadiah, où il s’était rendu pour tenter de délivrer Amad el Ghandour, le fils de Mohammed Emin, ce vieux chef des Haddedin avec lequel notre voyageur avait contracté un pacte d’amitié. C’est à Amadiah, et plus tard en traversant les pays kurdes, qu’il fait connaissance d’une femme remarquable et singulière, la célèbre centenaire Marah Dourimée. Elle descend des anciens rois de ces contrées, et s’est acquis par ses vertus un pouvoir mystérieux sur les peuples crédules de la contrée. On l’appelle le Rouh Koulyan, « l’Esprit de la caverne. » Marah Dourimée professe le christianisme au milieu d’une population entièrement mahométane. Sa rencontre avec un Européen catholique lui inspire une profonde sympathie pour le voyageur. C’est à sa maternelle sollicitude que M. May doit les moyens de continuer sa route sans avoir à y souffrir trop de privations.
Quant aux autres personnages qui reparaissent au courant du présent volume : Ibrahim Mamour, Isla ben Mafleï, Hanneh, Senitza, etc., leurs antécédents se trouvent assez indiqués pour qu’il soit inutile de nous y arrêter.
Ces nouveaux épisodes nous ont paru aussi intéressants que ceux qui précédent : même agrément dans la narration, même intérêt toujours soutenu, même naturel, même vivacité dans les dialogues. Ce quatrième volume offrira, comme les trois autres, une lecture amusante, instructive, saine surtout. Aussi la pensée d’ajouter un ouvrage de plus à la liste des publications honnêtes et chrétiennes nous a-t-elle encouragé dans le labeur de cette longue traduction.
Contribuer, pour une part si modeste qu’elle soit, au bien que peut produire la bonne presse, est une des meilleures joies d’ici-bas. Nous souhaitons, pour eux et pour nous, que nos lecteurs nous la donnent.

Ces romans ont aussi été édités à partir de 1943 en 8 volumes (voir ci-dessous).

Les pirates de la mer rouge

Une visite au pays du diable

La caravane de la mort

Une maison mystérieuse à Stamboul


Les pirates de la mer rouge

Les pirates de la mer rouge


N° éditeur : 352 - N° imprimeur : 621-1946 - Dépôt légal : 1° trimestre 1944 - 217 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations d'Albert Uriet
Traduction de : "Durch die Wuste" pages 1 à 240.


Préface de J. DE ROCHAY.


Dans ce volume, nous suivons Karl May à travers les chotts de la Tunisie ; en Égypte, où il navigue sur le Nil ; enfin sur les bords de la mer Rouge, où une rencontre très dramatique avec les pirates de ces parages lui fournit une curieuse étude de mœurs.
Le vieux traducteur de Plutarque parle « du plaisir d’écouter ceux qui reviennent de loin racontant les choses qu’ils ont vues en étrange pays ».

Un Paladin du désert

Un Paladin du désert


N° éditeur : 853 - N° imprimeur : 943-1947 - Dépôt légal : antérieur à juin 1940 - 235 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations d'Albert Uriett. La jaquette en couleur est signée RB qui sont les initiales de Roger Broders.
Traduction de : "Durch die Wuste" pages 246 à 495.


Préface de J. DE ROCHAY.


Après avoir réussi à visiter la Mecque grâce à l’intervention d’une femme mystérieuse, le héros de ce récit d’aventures est poursuivi comme profanateur. Il s’ensuit des péripéties tantôt amusantes telles que la rencontre d’un Anglais à la recherche des taureaux ailés de l’antique Assyrie, tantôt émouvantes comme la bataille au désert, la victoire sur le « Seigneur de la mort », enfin l'épouvantable découverte faite dans l’île inabordable des Abou-Hamed, toutes également captivantes. Aussi le lecteur voudra-t-il sûrement savoir comment se terminera l’expédition pour la recherche du fils de l’émir que nous raconterons dans les livres suivants.

Une visite au pays du diable

Une visite au pays du diable


N° éditeur : 354 - N° imprimeur : 1052-1948 - Dépôt légal : 1° trim. 1944 - 187 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations de Roger Broders
Traduction de : "Durch die Wuste" pages 496 à la fin et "Durchs wilde Kurdistan" pages 1 à 125.


Préface de J. DE ROCHAY.


Après avoir parcouru la Tunisie, traversé l’Égypte, visité la Mecque et pris part aux combats d’une tribu arabe, le voyageur dont nous traduisons les curieux récits continue sa route jusque sur les frontières de la Perse, en passant par le Kurdistan.
Il séjourne chez les Yésidi, dont il étudie les mœurs et le culte d’une façon très intéressante, s’efforçant de défendre cette peuplade contre les reproches des musulmans. Ceux-ci accusent les Yésidi d’adorer le diable. Si les Turcs ne tombent point dans une pareille idolâtrie, on peut les compter, du moins, parmi les plus fervents adorateurs de Mammon. Karl May nous fournit sur la rapacité, la corruption, l’avilissement de leurs fonctionnaires, des détails qu’on appellerait amusants, si une pareille bassesse dans les caractères pouvait jamais l’être. Ces détails portent avec eux leur leçon : ils font juger de la moralité de cette religion musulmane, que des chrétiens n’ont pas eu honte de vanter.
Voyageant à l’ombre du sultan ou du Padischah, c’est- à-dire avec un sauf-conduit de la Sublime Porte, notre auteur parcourt presque toutes les contrées qui relèvent du gouvernement de Constantinople ; il se trouve ainsi en contact avec toutes les formes du mahométisme, et mieux placé que personne pour en parler sciemment.
Karl May, pendant sa longue exploration, ne se sépare jamais d’un serviteur fidèle, un Arabe du désert, qui ne manque pas de finesse dans sa naïveté, et dont le Coran n’a point altéré l’excellente nature. Il a aussi pour compagnons un riche Anglais et le cheikh de la tribu des Haddedîn. L’Anglais s’est mis en tête de découvrir, parmi les ruines de Ninive ou de Babylone, un taureau ailé, un fowling-bull, pour en faire présent au British Museum. Le chef bédouin, auquel notre voyageur vient de procurer une éclatante victoire sur des tribus rivales, se rend à Amadiah, afin de tenter la délivrance de son fils, prisonnier des Turcs.
Les lecteurs des premiers épisodes du voyage de Karl May, compris sous les titres : les Pirates de la mer rouge, et Un Paladin du désert trouveront, nous l’espérons, que ceux-ci ne le cèdent nullement en intérêt aux précédents.

Les géôliers du grand Seigneur

Les géôliers du grand Seigneur


N° éditeur : 355 - N° imprimeur : 942-1947 - Dépôt légal : 1° trim. 1944 - 206 pages.
N° éditeur : 355 - N° imprimeur : 623-1946 - Dépôt légal : 1° trim. 1944 - 206 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations de R. Broders
Traduction de : "Durchs wilde Kurdistan" pages 126 à 372.


Préface de J. DE ROCHAY.


Au cheval superbe que le voyageur avait reçu en cadeau d’un émir vient s’ajouter un splendide chien kurde dont le voyageur fera ses compagnons, et dont il aura plus d’une fois à apprécier les services au cours de ses aventures. Tour à tour médecin, arracheur de dents, fabricant de champagne non breveté, il trouve encore le moyen d’organiser une demeure secrète pour le fils de l’Émir, qu’il espère arracher à sa captivité. Espérons-le aussi, afin de faire connaissance avec lui de « l’Esprit de la caverne » qui doit lui être favorable en retour de la guérison de la petite fille d’une reine déchue.

La voix de la caverne

La voix de la caverne


N° éditeur : 356 - N° imprimeur : 947-1947 - Dépôt légal : 1° trim. 1944 - 186 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations de R. Broders
Traduction de : "Durchs wilde Kurdistan" pages 373 à la fin.


Préface de J. DE ROCHAY.


Sous le titre La Voix de la Caverne, nous publions la traduction d’un nouvel épisode des voyages de Karl May. Muni d’un passeport de la Sublime Porte et marchant à l'ombre du Padischah, notre explorateur a parcouru déjà une grande partie des contrées tributaires de la puissance ottomane. Il a traversé les dangereux chotts de la Tunisie ; il a vu les bords de la mer Rouge, du Nil, de l’Euphrate et du Tigre ; il s’est arrêté chez un curieux petit peuple, les Yésidi, qui lui ont fourni une étude des plus intéressantes ; il nous a raconté les misères et les vexations du fonctionnarisme turc. Dans ce volume, nous suivrons, le voyageur chez les Kurdes et, à travers les monts Zagros, jusqu’aux frontières persanes ; nous verrons défiler, sous les murs de Bagdad, la sombre caravane qui va célébrer la mort d’Husseïn par de si lugubres cérémonies. Cette caravane, composée de musulmans fanatisés, la plupart faméliques, et portant avec eux les cadavres de leurs proches, afin de les enterrer dans la terre sacrée de Kerbela, répand sur son passage les germes de la peste.
Le voyageur, que cette terrible maladie n’épargne pas, trouve, pour peindre de pareilles scènes, des couleurs d’un réalisme saisissant. Certains de ses tableaux ne sauraient plus s’oublier dès qu’ils ont passé sous les yeux du lecteur.
Dans ce nouvel épisode, le fidèle Halef, ce naïf enfant du désert, dont le dévouement persiste au milieu de toutes les épreuves, reste toujours aux côtés de son maître. Deux chefs de tribu, le vieux Mohammed et son fils, ce dernier arraché aux prisons turques par Karl May, font avec lui une partie du chemin, ainsi que le bon master David Lindsay, un Anglais riche, original et entreprenant. Notre voyageur rencontre encore d’autres compagnons : des Persans au caractère sympathique, « vrais Français d’Orient » comme s’exprime l’auteur. La tragique histoire de ces derniers venus se mêle aux horreurs du pèlerinage de Kerbela. En voilà assez, ce nous semble, pour exciter l’intérêt.
Ces épisodes peuvent être signalés comme les plus frappants, les plus dramatiques parmi ceux que Karl May raconte avec autant de verve que de talent.

Les pirates de la mer rouge

Un Paladin du désert

Une visite au pays du diable

Les géôliers du grand Seigneur

La voix de la caverne

La caravane de la mort

La caravane de la mort


N° éditeur : 357 - N° imprimeur : 941-1947 - Dépôt légal : 2° trimestre 1943 - 217 pages.


Traduit par J. de Rochay - Illustrations de R. Broders
Traduction de : "Von Bagdad nach Stambul" pages 9 à 347.


Préface de J. DE ROCHAY.


Un soir du début de l'autre siècle, le narrateur, l'explorateur allemand Kara ben Nemsi et son ami britannique Sir David Lindsay, accompagnés de deux serviteurs Halef et Haddedin et d'une petite troupe veulent se reposer dans un village perdu du Kurdistan irakien. Mais leurs hôtes kurdes, aussi frustes que malhonnêtes, n'ont qu'une idée, les dépouiller de leur argent, de leurs armes et de leurs montures. Mais les deux occidentaux ne se laissent pas faire. Le fils du chef du village ayant été tué lors de l'affrontement, les Kurdes exigent le prix du sang, se référant à une tradition ancestrale qui veut qu'un mort d'un camp soit compensé par un mort de l'autre ou par son équivalence en argent, armes ou chameau. Mais Kara n'accepte pas ce genre de marché, il tente de s'échapper avec toute sa troupe. Il faudra l'intervention in extremis du fils du Bey pour que la petite troupe puisse se tirer de ce mauvais pas...
Et ceci n'est que le tout début d'un long roman d'aventures foisonnant de péripéties et de rebondissements, et présenté comme un récit de voyage en deux parties, la première se passant chez les Kurdes et la seconde plus au sud, dans la région de Bagdad et de Kerbala. L'auteur, Karl May, sorte de Jules Verne allemand, n'ayant pas fait le quart des voyages qu'il raconte, s'est inspiré de guides touristiques et de récits de véritables explorateurs. Cela n'enlève rien à l'intérêt de ce texte qui se lit encore très facilement de nos jours et qui permet de se faire une idée de ce que pouvait être le Moyen-Orient à cette époque. Dangereux, avec des tribus en guerre permanente les unes contre les autres, des communautés chrétiennes comme les Nestoriens ou les Chaldéens persécutés par les Musulmans, des Kurdes en sécession contre les Turcs et des Perses, plus sympathiques (May les considère comme étant les Français d'Orient) mais tout aussi fanatiques. La description du pèlerinage chiite de Kerbala en est un bel exemple. On s'aperçoit quand même que ce récit est bien de son époque par une certaine forme de manichéisme et de simplisme dans les rapports humains. D'un côté, les Occidentaux avec leurs valeurs propres comme l'esprit chevaleresque ; le respect de la parole donnée, la loyauté vis à vis de l'adversaire, l'honnêteté scrupuleuse et le respect de la vie. Et de l'autre, les Orientaux, brutaux, violents, voleurs, menteurs et tricheurs, toujours prêts à un mauvais coup, mais auxquels May reconnaît quand même un grand sens de l'hospitalité, une équité réelle et une capacité à pardonner les offenses. Les personnages sont assez stéréotypés et rarement sympathiques, excepté quelques belles figures de cheiks arabes et surtout celle du brave Halef, le serviteur d'une fidélité exemplaire qui ira jusqu'à partager l'épreuve de la peste avec son maître.

Un bandit insaisissable

Un bandit insaisissable


N° éditeur : 358 - N° imprimeur : 1057-1948 - Dépôt légal : 1° trimestre 1944 - 189 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations d'Albert Uriet
Traduction de : "Von Bagdad nach Stambul" pages 348 à 490.


Préface de J. DE ROCHAY.


Les voyages de Karl May dans le Levant ont déjà rempli six volumes de cette collection. Ces volumes s'intitulent : les Pirates de la mer Rouge, Un Paladin du désert, Une Visite au pays du diable, les Geôliers du Grand Seigneur, la Voix de la caverne et la Caravane de la mort. Quoique ces ouvrages puissent se lire séparément, ils ont ensemble une liaison que nous tenons à renouer par un court avant-propos placé en tête de chaque volume. Dans celui que nous publions aujourd’hui, notre narrateur, après avoir failli mourir de la peste aux environs de Bagdad, reprend le cours de ses pérégrinations, se rend à Damas, à Balbek, puis à Constantinople, autrement dit Stamboul, où l’attendent de nouvelles aventures non moins émouvantes que les premières.
Avant de laisser l’auteur les raconter, nous rappellerons qu’il voyage avec un Arabe du désert, son serviteur, presque son ami, l’intelligent, le dévoués le brave petit Halef, dont le caractère, les répartie, aussi fines que naïves, ne sont pas un des moindres attraits du récit. Notre explorateur a été accompagné dans une grande partie du chemin par un riche Anglais, original et bon enfant, sir David Lindsay. Brusquement séparé de ce dernier pendant sa terrible maladie, Karl May n’est pas sans inquiétude sur le sort de l’insulaire, tombé peut-être entre les mains de quelques Arabes maraudeurs.
Dans le volume intitulé Les Geôliers du Grand Seigneur, Karl May a raconté son séjour à Amadiah, où il s’était rendu pour tenter de délivrer Amad el Ghandour, le fils de Mohammed Emin, ce vieux chef des Haddedîn avec lequel notre voyageur avait contracté un pacte d’amitié. C’est à Amadiah, et plus tard en traversant les pays kurdes, qu’il fait connaissance d’une femme remarquable et singulière, la célèbre centenaire Marah Dourimée. Elle descend des anciens rois de ces contrées, et s’est acquis par ses vertus un pouvoir mystérieux sur les peuples crédules de la contrée. On l’appelle le Rouhi Koulian, « l’Esprit de la caverne. » Marah Dourimée professe le christianisme au milieu d’une population entièrement mahométane. Sa rencontre avec un Européen catholique lui inspire une profonde sympathie pour le voyageur. C’est à sa maternelle sollicitude que Karl May doit les moyens de continuer sa route sans avoir à y souffrir trop de privations.
Quant aux autres personnages qui reparaissent au courant du présent volume : Ibrahim Mamour, Isla ben Mafleï, Hanneh, Senitza, etc., leurs antécédents se trouvent assez indiqués pour qu’il soit inutile de nous y arrêter.
Ces nouveaux épisodes nous ont paru aussi intéressants que ceux qui précèdent : même agrément dans la narration, même intérêt toujours soutenu, même naturel, même vivacité dans les dialogues. Ce septième volume offrira, comme les autres, une lecture amusante, instructive, saine surtout. Aussi la pensée d’ajouter un ouvrage de plus à la liste des publications honnêtes et chrétiennes nous a-t-elle encouragé dans le labeur de cette longue traduction.
Contribuer, pour une part si modeste qu’elle soit, au bien que peut produire la bonne presse, est une des meilleures joies d’ici-bas. Nous souhaitons, pour eux et pour nous, que nos lecteurs nous la donnent.

Une maison mystérieuse à Stamboul

Une maison mystérieuse à Stamboul


Préface de J. DE ROCHAY.


N° éditeur : 359 - N° imprimeur : 946-1947 - Dépôt légal : 1° trim. 1944 - 198 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay - Illustrations d'Albert Uriet
Traduction de : "Von Bagdad nach Stambul" pages 491 à la fin.


Après avoir retrouvé son joyeux compagnon, sir David Lindsay, et reçu les confidences de deux braves gens chez qui il loge, notre voyageur essaie de pénétrer les secrets d’une maison mystérieuse voisine de la sienne. Il se met à la poursuite des brigands qui l’habitaient, tandis que l’Anglais, fatigué de courir des aventures qui ne lui ont pas fait trouver le moindre taureau ailé, retourne dans sa patrie.

Ces huit volumes sont destinés à être lus dans cet ordre.

 

 

La caravane de la mort

Un bandit insaisissable

Une maison mystérieuse à Stamboul

Certains passages ne figurent plus dans ces livres en raisons de petites coupures dues aux transitions entre volumes.

Editions Mame & Fils (autres ouvrages)

Au gré de la tourmente

Au gré de la tourmente


N° éditeur : 139 - N° imprimeur : 45436-1937 - 307 pages.


Illustrations de A. Robida
Traduction des récits : "Der Ehri" pages 7 à 73 et "Der Kiang-Lu" pages 74 à 307.

Dans la version allemande, ces deux histoires se trouvent dans « Am Stillen Ocean » volume n° 11 des Récits de voyage de Karl May qui comprend encore 3 autres récits.
La traduction "Der Kiang-Lu" est différente de celle de "L'empire du dragon".
Pour "Der Ehri" une traduction plus courte à été utilisée que celle du "Roi des requins".


Le livre électronique a été réalisé à partir de l'édition de 1925 - 3126(scan de la BNF).
Le texte de l’édition 1937 est identique à celui de 1925. Quelques erreurs typographiques ont été corrigées dans l’édition de 1937.
L’édition de 1925 compte 18 illustrations alors que pour celle de 1937 seules 8 illustrations ont été conservées (Pages 6, 14, 30, 48, 71, 109, 127, 130).


Le roman au gré de la tourmente se compose de deux aventures distinctes :
La première – Potomba et Pareyma — se passe en Polynésie (Tahiti et Moorea) et la deuxième – A Kuang-Ti-Miao et A Loug-Réou-Sang — en chine (Hong-Kong et Canton).
Dans ces deux romans, le héros est devenu français.

Le brelan américain

Le brelan américain suivi de l'anaia du brigand


N° éditeur : 143 - N° imprimeur : 42087-1930 - 290 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay. Illustrations de Mouchot et Ferat.
Préface de J. de Rochay
Traduction des récits : "Kanada Bill" et "Die Gum" (même textes que ceux du "Le roi des requins").


Préface de J. DE ROCHAY.


Le succès des cinq volumes traduits de Karl May nous engage à en présenter un sixième au public. Ce nouveau livre se compose des souvenirs laissés dans l’esprit de l’intrépide voyageur par des contrées et des populations très différentes les unes des autres.
Notre auteur nous transporte d’abord dans l’Amérique du Nord. Dans la "Vengeance du Farmer", M. May décrivait merveilleusement les mœurs des savanes ! et leur sauvage poésie. Ici le voyageur ne paraît pas, mais son héros lui ressemble, d’ailleurs il ne varie point ses procédés : descriptions, rapides et frappantes, dialogues coupés avec art, pleins de vivacité et de naturel. Un des personnages du Brelan américain s’est acquis une réputation très grande et un peu surfaite peut-être, chez lui comme à l’étranger. Les catholiques ne sauraient oublier que le président Abraham Lincoln fut l’instrument de la franc-maçonnerie américaine. Du moins l’énergie, la persévérance, l’amour du travail dont il fit preuve aux débuts de sa carrière, et qui lui valurent une si haute situation, peuvent-ils servir d’exemple.
Enfin, nous rentrons avec M. Karl May, en pays mahométan, objet spécial de ses études, de ses observations, et nous terminons par une curieuse expédition au fond de l’Afrique. Notre explorateur y détruit, presque à lui seul, toute une horde de dangereux brigands. Si, dans le récit de ses prouesses, M. May emploie souvent assez largement l’exagération permise, suivant le proverbe : A qui vient de loin, le lecteur, qu’il sait émouvoir, amuser et intéresser, ne s’en plaint point, nous en sommes certain.
Espérons donc que ces nouveaux épisodes obtiendront, comme les précédents, un favorable accueil. Nous avons travaillé à leur traduction avec autant de soin ; nous les offrons avec une confiance égale à tous ceux, petits et grands, dont l’empressement pour la lecture des voyages de Karl May nous ont jusqu’ici encouragé dans notre tâche.
Nous voulions trouver un Jules Verne plus franchement chrétien et possédant son originalité propre ; puissions-nous y avoir réussi !

Fauves et bandits

Fauves et bandits


N° éditeur : 162 - N° imprimeur : 45665-1938 - 300 pages.


Traduction de A. Canaux - Illustrations de Maitrejean.
Traduction des récits : "Christus oder Muhammed" et "Der Krumir".


Résumé en cours

Le mystérieux Forban

Le mystérieux Forban


N° imprimeur : 1987-1954 - Dépôt légal : 4° trimestre 1954 - 154 pages.


Collection grandes vacances - Illustration de Jean Detray.
Traduction du récit : "Kapitän Kaiman"


Résumé en cours

L'or fatal

L'or fatal


N° éditeur : 190 - N° imprimeur : 45402-1937 - 313 pages.


Traduction de A. Canaux - Illustrations de Maitrejean.
Traduction du récit : "Das Vermächtnis des Inka".

Le texte est raccourci, les noms sont francisés : Morgenstern = Dr. Delétoile ; Fritz Kiesewetter = Frédéric Dutemps de la région d'Amien; Vater Jaguar = Martet.


Résumé en cours

Au gré de la tourmente

Le brelan américain

Fauves et bandits

Le mystérieux Forban

L'or fatal

Surcouf le Corsaire

Surcouf le Corsaire


N° éditeur : 171 - N° imprimeur : 43353-1931 - 270 pages.


Traduction de A. Canaux et illustrations de L. Maitrejean.
Traduction des récits : "Der Kaperkapitän" et "Von Mursuk bis Kairwan".

Dans le deuxième récit Kara Ben Nemsi conserve son nom mais il est devenu Français.


Résumé en cours

Les vautours de la savane

Les vautours de la savane


N° éditeur : 228 - N° imprimeur : 43373-1932 - 310 pages.


Traduction de A. Canaux et Illustrations de L. Maitrejean.
Traduction du récit : "Der Sohn des Bärenjägers" (les deux parties).

Le texte est raccourci, les noms sont francisés : Hobble-Frank = François le boiteux ; Baumann = Masson ; Davy = David Couronné et il est américain ; Jemmy = J. Poivret.


Les vautours de la savaneN° éditeur : 3140 Série 31A - N° imprimeur : 44061-1933 - 301 pages.

Illustrations de Maitrejean.
Livre au Format 26,5 x 18,5


Ce livre contient en première partie le roman "Le fils du chasseur d'ours" et en deuxième partie "L'esprit du llano Estacado".
Résumé en cours

La vengeance du Farmer

La vengeance du Farmer


N° éditeur : 159 - N° imprimeur : 45362-1937 - 277 pages (1926).


Souvenir d'Amérique par Karl May, traduit de l'allemand par J. de Rochay.
Préface de J. de Rochay et illustrations de divers artistes.
Traduction de l'épisode "Sans-Ear" de Winnetou III.

Préface de J. DE ROCHAY.


L’intrépide et spirituel voyageur dont nous traduisons les émouvants récits nous affirmait un jour que pas un trait de sa narration n’a été inventé. Il raconte ce qu’il a vécu ou éprouvé ; entraîné par ses souvenirs, il s’arrête rarement aux réflexions. Les moeurs du nouveau monde, qu’il a longtemps parcouru, ne l’étonnent plus d’ailleurs ; il les peint dans tout leur naturel. Ces mœurs, quoi qu’en disent les enthousiastes de la jeune civilisation américaine, valent souvent moins que les nôtres ; elles descendent jusqu’à la plus brutale sauvagerie, quand il s’agit de la vengeance personnelle ou collective. Les barbares exécutions du lynch prouvent suffisamment notre assertion.
Un christianisme mutilé comme celui qui se rencontre trop fréquemment dans ce pays est impuisant à maintenir le divin précepte du pardon. Entre l’Ancien Testament, où il trouve formulée la loi du talion : « Œil pour œil, dent pour dent, » et la parole évangélique : « Faites du bien à celui qui vous fait du mal, » le sentiment humain abandonné à lui-même n’hésitera jamais. Quand on a arraché la croix de la main du chrétien, on a arraché aussi la miséricorde de son cœur ; l’homme régénéré est retourné à la férocité antique ou sauvage. Ce ne sont pas les théories modernes de philanthropie, de tolérance, d’altruisme, d’irresponsabilité dans le crime qui triompheront des haines ni des rancunes, après que la charité aura été bannie.
La soif de l’or, celle de la vengeance, les deux plus terribles passions du Yankee ou de l’aventurier des savanes, sont ici représentées avec toute leur horreur ; cependant le héros de M. May pourrait invoquer une circonstance atténuante dans l’acharnement de sa haine, s’il songeait à excuser ce qui lui paraît si légitime. En poursuivant une vengeance personnelle, en cherchant à se faire justice lui-même au milieu des déserts, où la justice légale ne pénètre guère, le malheureux Sans-Ear sait qu’il délivrera la contrée de brigands de la pire espèce. C’est ce motif qui détermine Shatterhand, notre vaillant trappeur, malgré son attachement aux principes catholiques, à prêter son concours pour cette chasse à l’homme, si cruelle, si acharnée.
Cette explication nous semblait utile avant de laisser la parole à M. May ; nous nous garderons ensuite de l’interrompre, et, sauf quelques légères modifications indispensables pour la clarté du récit, nous resterons aussi fidèle que possible au texte de ses souvenirs, publiés en Allemagne sous le titre de Deadly Dust, en 1880.

La vengeance du Farmer

Le Roi des requins (62 pages) suivi de Le brelan américain (72 pages) et de L'anaïa du brigand (139 pages)


N° éditeur : 143 - N° imprimeur : 40258 - 286 pages.


Traduit de l'allemand par J. de Rochay. Gravures sur bois de Mouchot et Ferat
Préface de J. de Rochay
Traduction des récits : "Der Ehri", "Three cards monte" et "Die Gum".


Le livre électronique a été réalisé à partir de l'édition de 1887 - 15 gravures d'après Férat et Mouchot(scan de la BNF)

Préface de J. DE ROCHAY.


Après un naufrage au large des îles de la Société, un équipage américain accompagné d'un unique passager allemand trouve refuge sur une île déserte où finit par aborder un peu plus tard Potoma, un prince polynésien pourchassé par ses ennemis, des païens qui lui reprochent sa conversion au christianisme. De retour à Tahiti, Potoma découvre que son beau-père, chaman animiste, a tué sa mère et a enlevé sa jeune épouse. Comment va-t-il pouvoir la récupérer et se venger sans renier son idéal ?... Dans les plaines du Far-West, Canada Bill est un joueur et tricheur professionnel. Confondu avec une carte dans la manche par le héros, Tim Kroner, il le menace de revenir se venger de la pire manière. Leurs routes vont se croiser dramatiquement à plusieurs reprises... A Alger, Monsieur Latréaumont, un négociant qui voit toutes ses caravanes attaquées dans le désert du Sahara, ses serviteurs assassinés, son fils pris en otage et ses marchandises volées, en appelle au narrateur et à Emery Bothwell, un aventurier anglais, pour aller faire rendre gorge aux auteurs de ces rezzous... Dans « Le roi des requins », le lecteur a droit à trois romans d'aventures et d'exploration pour le prix d'un ! Karl May le transporte de la Polynésie au Sahara en passant par le grand Ouest américain. Trois histoires passionnantes, bien écrites, pleines de sentiments positifs, sans doute un peu manichéens (époque oblige, le livre a été écrit au tout début du vingtième siècle) et avec un réel désir descriptif et didactique. Sorte de Jules Verne ou de R.L. Stevenson allemand, May se sert de ses souvenirs de voyages (et également de guides quand il n'est pas allé physiquement sur les lieux) pour rendre vivantes les descriptions de décors, de situations et de territoires encore considérés à l'époque comme « sauvages » voire inexplorés. Dans cet ouvrage, le plus surprenant est sans doute l'intervention d'Abraham Lincoln en coureur de prairie tenté par la profession d'avocat, rôdant ses plaidoiries seul au fond des bois. (Authentique ???) A notre époque de mondialisation et de tourisme tout azimut, il peut être tout à fait passionnant de retrouver un regard différent, une fraîcheur et une assurance qui n'est plus de mise aujourd'hui. Ne serait-ce que pour considérer le chemin parcouru par nous en un siècle ainsi que l'évolution du monde et des mentalités, voire leur immanence...
Source de la critique : https://smtp.critiqueslibres.com (CC.RIDER, le 18/09/2013)

Il est à noter qu'il est très difficile de trouver des livres de cette époque avec leur jaquette originale.

Surcouf le corsaire

Les vautours de la savane

La vengeance du farmer

Le roi des requins


Editions Ernest Flammarion (1933 à 1937)

Winnetou, l'homme de la prairie

Winnetou, l'homme de la prairie


Copyright : 1933 - 255 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.
Jaquette d'origine manquante.


Winnetou, l'homme de la prairie


L'auteur, garçon hardi et assoiffé d’aventure, décide de partir pour le Far-West. Ses compagnons, dont certains sont fort peu sympathiques, l'appellent « Greenhorn » (blanc-bec) ce qui ne l'empêche pas de faire preuve d’habileté tant à la chasse qu’au cours de furieuses batailles opposant les Blancs aux Indiens Apaches et Kiowas. Malgré sa force et sa ruse celui que l’on a bientôt surnommé « Old Shatterhand » (la main qui frappe) n’en est pas moins fait prisonnier par les Apaches dont les chefs Intchou-Tchouna et Winnetou lui doivent la vie. Les Apaches, ignorant qu’il est leur ami, décident de faire périr les prisonniers, mais ils leur donnent une chance en soumettant Old Shatterhand à une épreuve dont il sort vainqueur. Il scelle ensuite un pacte d’amitié avec Winnetou auquel il a bientôt l'occasion de prouver sa fidélité.

La caravane d'esclaves

La caravane d'esclaves - Récits soudanais


Dépôt légal : 1933 - 254 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.
Jaquette d'origine manquante.
Traduction du récit : "Sklavenkaravane" chapitres 1 à 10.

Le texte est raccourci, les noms sont francisés


Sans doute, le commerce des esclaves est interdit dans le monde civilisé. Pourtant dans les régions lointaines du Soudan, au fond de la brousse ou du désert, de véritables requins humains organisés en bandes redoutables, au mépris de toute juridiction et de toute loi humaine, continuent à trafiquer du « bois d’ébène ».
Un blanc, Européen et Français, parti à la recherche de l’aventure, tombe au milieu de ces bandes et décide de combattre par tous ses moyens l’horrible trafic de chair humaine. Nous le suivons à travers les péripéties de cette lutte passionnante dans les régions inhospitalières du continent noir. Va-t-il triompher dans ce combat inégal et sans merci, alors qu’il ne peut opposer à la brutalité barbare et organisée que la seule force d’une conscience droite et d’une intelligence éclairée ?


Un film du même nom a été réalisé en 1958 par Georg Marischka (Durée 1H37)
La caravane des esclaves Résumé : La Caravane des esclaves : L'Allemand Kara Ben Nemsi se bat avec son compagnon arabe Hajji Halef Omar de la tribu de Haddedihn contre les négriers de la redoutable bande d'Abou el Mot. Ils ont rejoint une caravane, mais sont attaqués et capturés. Kara et Halef parviennent à s'échapper. Ils se dirigent vers le Nil pour atteindre Faschoda. Là-bas, Kara libère Senitza d'un harem et obtient de l'aide de l'esclave Hamid. Hamid qui a été enlevé est en fait le fils d'un prince. Il veut épouser Senitza.
Quand Abu El Mot est acculé, il enlève la belle Senitza et prend Hamid en otage. Dans le village indigène de Omballa, il arrive également capturer Kara, qui est sauvé ensuite par Halef.
Kara Ben Nemsi parvient à libérer Senitza et rendre inoffensif Abu El Mot.

La chasse au négriers

La chasse au négriers


Dépôt légal : 1934 - 254 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.
Suite de "La caravane d'esclaves"
Traduction du récit : "Sklavenkaravane" pages 332 à la fin.


Ce volume captivant nous conte les nouvelles aventures de Lenoir, le héros de la Caravane d’Esclaves. Ce jeune et intrépide Européen a engagé une lutte sans merci contre les deux redoutables marchands d’esclaves de la région, le « Père de la Mort » et le « Fils de la Mort ». Secondé par un ornithologiste belge, personnage à la fois grotesque et sympathique, à qui la longueur de son nez a valu le surnom de « Père de la Cigogne », ainsi que par le « Fils du Mystère », un jeune indigène enlevé en bas âge à ses parents, il se livre à une poursuite effrénée des bandits, sur le Nil et dans ses chenaux. On assiste à une bataille dramatique au milieu du fleuve, au cours de laquelle les deux brigands parviennent cependant à prendre la fuite.
Mais ce premier échec ne décourage pas les Européens, d’autant plus ardents au combat que le frère de Lenoir et le père du « Fils du Mystère » se trouvent depuis quelque temps entre les mains des négriers. Joignant la ruse au courage, ils finissent par triompher de l’ennemi et par libérer, avec leurs proches, les malheureux indigènes tombés victimes du trafic du « bois d’ébène ».

Le Justicier

Le Justicier


Charles May - Dépôt légal : 1933 - 255 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.
Traduction des récits : "Saiwa Tjalem", "Der Boer van het Roer" et "Er Raml el Helahk".

Dans "Der Boer van het Roer" le narrateur est français, mais la trame politique est respectée.


Le héros et narrateur de ces passionnants récits d'aventures nous conduit de la Laponie, où il apprend aux superstitieux indigènes à se fier à la raison plutôt qu'aux amulettes, jusqu’en Afrique du Sud, où il prend part, aux côtés des Boërs, à la lutte contre les tribus cafres, et au Sahara, où il défend victorieusement une caravane contre des pillards touareg.
Partout, les sentiments de justice et de générosité qui l’animent et motivent ses actes finissent par avoir raison des instincts primitifs et sanguinaires de ses adversaires. Nous assistons à une véritable épopée moderne de cape et d’épée dans des mondes inconnus.

Le trésor des montagnes rocheuses

Le trésor des montagnes rocheuses


Copyright : 1933 - 253 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.


Ce livre continue la série des aventures de Old Shatterhand tombé entre les mains des Apaches. Ceux-ci ignorant que le Blanc leur avait voué une profonde amitié, décident de le faire périr en même temps que les autres captifs. Au cours de l’épreuve très périlleuse qui doit décider de son sort, Old Shatterhand sauve sa propre vie et celle de ses compagnons. Il scelle alors un pacte d’amitié avec les chefs de la tribu des Apaches. Pendant son séjour chez les Peaux-Rouges, le héros blanc inspire un amour secret mais passionné à la sœur de Winnetou, la belle Nso-Tsi.
Bientôt un malheur cruel frappe Winnetou par la faute d’un brigand blanc de la Prairie, allié de la tribu des Kiowas. Old Shatterhand assiste alors son ami rouge et lui témoigne un noble dévouement. Une lutte acharnée se livre autour du trésor des Montagnes Rocheuses, que convoitent à la fois les Blancs et les Rouges. Afin de ne pas laisser les brigands s’en emparer et de tirer vengeance du criminel, Old Shatterhand — après avoir libéré son vieil ami Sam fait prisonnier par les Kiowas — s’élance avec Winnetou dans une poursuite dont le volume suivant relatera les péripéties.

Winnetou, l'homme de la prairie

La caravane d'esclaves

La chasse au négriers

Le Justicier

Le trésor des montagnes rocheuses

La trahison des comanches

La trahison des commanches


Copyright : 1934 - 254 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.


Ayant perdu dans un naufrage toute sa fortune, Old Shatterhand offre ses services à un détective privé de Saint-Louis. Il ne tarde pas à être chargé d’une mission délicate : il s’agit de ramener à sa famille le fils du banquier Ohlert, un jeune poète atteint d’une maladie mentale et tombé sous l’emprise d’un escroc.
Lancé à la poursuite des deux fugitifs, le héros parcourt le pays en proie à des luttes intestines. Il lie amitié avec l’intrépide Old Firehand et les deux illustres hommes de l’Ouest s’engagent dans une interminable odyssée pleine de passionnantes aventures. Conduits par le hasard à faire route avec un détachement de Comanches, tribu en guerre avec les Apaches, ils sont entraînés dans un combat farouche que les Peaux- Rouges se livrent au fond d’une gorge. Nous assistons aux angoissantes péripéties de cette bataille, au cours de laquelle Old Shatterhand retrouve son grand ami et « frère de sang », Winnetou, le jeune et valeureux chef des Apaches.
Notre héros et ses deux amis continuent ensuite leur poursuite mouvementée. Leur courage et leur audace vont-ils triompher de la ruse de l’escroc qui s’est joint à une bande de redoutables malfaiteurs dans le dessein de piller les trésors d’une mine d’or ? C’est ce que nous apprendra la dernière partie de ce passionnant roman.

A travers le désert

A travers le désert


 


 
Traduction du récit : "Durch die Wüste" pages 1 à 211.


Résumé en cours

Dans la forteresse des trappeurs

Dans la forteresse des trappeurs


Copyright : 1934 - 251 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.


Les tribus indiennes déchaînées les unes contre les autres, s'épuisant en de sanglantes luttes fratricides et toutes unanimement dressées contre l’envahisseur blanc, ne constituent pas encore le plus grand danger de la Prairie. Car les bandits blancs, rebut de la société civilisée, sévissent dans ces régions, déployant une activité plus criminelle et plus féroce que celle des peuplades si souvent qualifiées de sauvages.
Old Shatterhand en compagnie de son « frère rouge » Winnetou et du vieux chasseur de la savane Old Firehand, poursuit inlassablement une bande de ces malfaiteurs qui terrorisent la population de la région. Nous assistons à une bataille mouvementée et tragique dans un ravin qui sert de dépôt de fourrures aux trappeurs et sur lequel les bandits ont jeté leur dévolu. Old Shatterhand ne connaîtra pas de répit avant d’avoir conjuré le « péril blanc » de la savane.

La main qui frappe

La main qui frappe


Copyright : 1935 - 254 pages.


Couverture et illustrations de Marguerite Fiora.


Old Shatterhand, la Main qui frappe, raconte dans ce volume une aventure qu'il a menée en compagnie de son ami Sans-Ears. Après avoir sauvé un train des attaques d'une tribu de Peaux-Rouges, ils se dirigent tous les deux vers le Rio-Pecos dans l’espoir de retrouver le bandit Fred Morgan, qui a abandonné sur le lieu de l’attentat une sacoche pleine de diamants volés.
Pendant la traversée du désert qui les sépare de ce fleuve, Old Shatterhand rencontre un de ses amis, Marshall, accompagné de son domestique noir, il apparait que les pierreries abandonnées par le bandit appartiennent à Marshall : Fred Morgan les avait volées après avoir assassiné le père de Marshall, un joaillier. Old Shatterhand décide de châtier le criminel et le poursuit, en compagnie de Sans-Ears, du jeune Marshall et de son « frère rouge » Winnetou, jusqu’au repaire de la bande des pillards.

Les aventuriers de la Mecque

Les aventuriers de la Mecque


Dépot légal : 1934 - 253 pages (35-2237)


Couverture et illustrations des Roger Pérot.
Traduction du récit : "Durch die Wüste" pages 211 à 390.


Résumé en cours

La trahison des comanches

A travers le désert

Dans la forteresse des trappeurs

La main qui frappe

Les aventuriers de la Mecque

Les adorateurs du diable

Les adorateurs du diable


Dépôt légal : 1935 - 251 pages.


couverture et illustrations de Marguerite Fiora
Traduction du récit : "Durch die Wüste" pages 391 à 598.


Résumé en cours

Le Trésor des Incas

Le Trésor des Incas


Dépôt légal : 1937 - 188 pages.


Couverture et illustrations de E. Schoner
Traduction du récit : "Das Vermächtnis des Inka".


Le texte original a été raccourci. Vater Jaguar (Karl Hammer) devient Charles Duval.


A Buenos Aires, se prépare une corrida suivie de la mise à mort d'un bison et d'un jaguar. Plusieurs toréadors dont un certain Perillo, l'espada (épée) la plus célèbre du pays, doivent affronter ces animaux sauvages. Mais la rencontre se passe mal. Perillo donne une si piètre prestation qu'il faut qu'un spectateur intervienne pour venir à bout du jaguar. Ce héros s'appelle Duval, c'est un géant d'origine française, à la fois aventurier, chercheur d'or et trappeur, surnommé « le père Jaguar ». Un banquier lui donne pour mission d'accompagner son fils dans la traversée du dangereux Gran Chaco. Un autre français nommé Cazenave, archéologue à la recherche d'ossements d'animaux préhistoriques comme le glyptodon, ayant monté une petite expédition avec Olive Bessard, autre français précédemment garçon de café et Don Parmesan, plus charcutier que chirurgien se retrouvent dans la même région. L'intervention de tribus indiennes mettent en péril l'expédition de Cazenave...
Un roman d'aventures pour adolescents comme plus personne n'en écrit aujourd'hui. Il faut dire que Karl May, écrivain allemand mort en 1912 et père de « Winnetou », fut un auteur prolifique qui savait inventer des histoires pleines d'imprévu mais également bourrées de données géographiques, ethnographiques voire anthropologiques. Cela donne un côté éducatif et didactique à ce livre qui semble un peu désuet à une époque si envahie d'images et de films que le lecteur n'a plus besoin de description et de longues explications pour s'imaginer le cadre, le contexte et le décor d'une histoire qui se passe en Amérique du Sud vers le milieu du XIXème siècle, c'est à dire à une époque aussi troublée que passionnante : révoltes indiennes, coups d'état à répétition et exploration de grands espaces quasiment vierges. Relire aujourd'hui ce genre de texte permet de se replonger dans la psychologie et l'imaginaire d'une époque déjà lointaine et de mesurer le chemin parcouru.

L'héritage des Incas

L'héritage des Incas


La suite du roman Le trésor des Incas est annoncé en page 188 du roman d'aventure "Le Trésor des Incas" (Voir la suite dans le roman L'Héritage des Incas). Il est à noter que cette édition n'a jamais vu le jour !


L'héritage des Incas Madame Steliana Pujolras a relevé le défit et a traduit la suite. En ce qui concerne ce livre, il s'agit de la version intégrale, pas seulement de la suite du "Trésor des Incas". Pour s'assurer que le texte sera fluide, elle a été obligée de le reprendre depuis le début, et le titre "L’héritage de l'Inca" semblait convenir aux deux parties du roman sans prêter à la confusion avec le texte des éditions Flammarion.

Il est très difficile de trouver ces livres des années trente.

Les adorateurs du diable

Le Trésor des Incas

L'héritage des Incas


Note : Dans tous ces romans l'auteur est noté Charles May.


Editions Flammarion (1944 à 1948)

Winnetou, l'homme de la prairie

Winnetou, l'homme de la prairie


N° éditeur : 1115 - N° imprimeur : 7607-6-1948 - Dépôt légal : 4° trim. 1944 - 192 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou I" pages 1 à 295.


Résumé en cours

Le trésor des montagnes rocheuses

Le trésor des montagnes rocheuses


N° éditeur : 1116 - N° imprimeur : 7608-6-48 - Dépôt légal : 4° trimestre 1944 - 180 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou I" pages 296 à la fin.


Ce livre est consacré à la suite des aventures d’Old Shatterhand (« La Main qui frappe »). Il a été capturé par les Apaches. Ceux-ci, ignorant qu’il est leur ami, décident de le faire périr en même temps que les autres prisonniers blancs, mais leur laissent à tous une dernière chance en soumettant Old Shatterhand à une épreuve désespérée dont il sort vainqueur, grâce à son habileté, à sa force et à son sang-froid. Il scelle alors un pacte d’amitié avec le chef Apache Winnetou. Pendant son séjour chez les Peaux-Rouges, le héros blanc inspire un amour secret, mais passionné, à la sœur de Winnetou, la belle Nao-Tsi. Bientôt, Old Shatterhand a l’occasion de prouver son amitié à Winnetou en l’assistant contre le brigand blanc Santer, allié des Kiowas. Une lutte acharnée se livre autour du trésor des montagnes Rocheuses, que convoitent à la fois les Blancs et les Rouges. Grâce à de nouveaux stratagèmes, Old Shatterhand réussira à sauver son vieil ami Sam, tombé aux mains des Kiowas. Ceux-ci jurent d’avoir leur revanche.

La trahison des comanches

La trahison des comanches


N° éditeur : 1117 - N° imprimeur : 7662-1948 - Dépôt légal : 4° trimestre 1944 - 222 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou II" pages 1 à 392.


Old Shatterhand entre au service d’une agence de police privée. Le nouveau détective est chargé d’une mission délicate : il s'agit de ramener à sa famille le fils du banquier Ohlert, un jeune poète à demi fou qui est tombé sous l’emprise de l’escroc Gibson.
Lancé à leur poursuite du côté de la frontière mexicaine, Old Shatterhand parcourt de vastes régions où s’affrontent les partisans de Maximilien et de Juarez. Il se lie d’amitié avec l’intrépide Old Death, mais ne lui révèle pas son identité. Les deux héros de l’Ouest vivent d’incroyables aventures. Conduits par le hasard à faire route avec un détachement de Comanches, tribu en guerre avec celle des Apaches, ils sont entraînés dans un combat farouche, que les Peaux-Rouges se livrent au fond d’un étroit vallon. Old Shatterhand retrouve son frère rouge Winnetou, le chef des Apaches, et Old Death apprend le vrai nom de son illustre ami qu’il avait pris pour un novice. Les Comanches ayant été vaincus par les Apaches, nos deux amis sont libres, et la fortune, maintenant, leur sourit.

Dans la forteresse des trappeurs

Dans la forteresse des trappeurs


N° éditeur : 619 - N° imprimeur : 2170 - Dépôt légal : 3° trim. 1947 - 178 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou II" pages 393 à la fin.


Après de dramatiques épisodes où il échappe à l’incendie d’une installation pétrolière et sauve un jeune métis nommé Harry, Old Shatterhand retrouve son « frère de sang » Winnetou, le chef des Apaches, et fait la connaissance du célèbre chasseur de l’Ouest, Old Firehand, qui n’est autre que le père de Harry. Les trois valeureux combattants se trouvent réunis, juste à temps, pour défendre un train que s’apprêtent à attaquer des indiens Ponkas conduits par le brigand blanc Parranoh.
Au cours du combat, Old Firehand reconnaît en celui-ci l’assassin de Ribanna, qui fut jadis sa bien-aimée épouse indienne, et la mère de Harry. Entre Old Firehand et l’assassin, c’est une lutte à mort. Il s’agit, en même temps, de détruire tous ces redoutables bandits blancs qui terrorisent la population de la région. Nous assistons â une bataille mouvementée et tragique dans un ravin qm sert de dépôt de fourrures aux trappeurs et sur lequel les bandits ont jeté leur dévolu. Malgré la victoire des trappeurs, Parranoh réussit à prendre la fuite ; mais nos amis n’ont pas dit leur dernier mot, et ils ne connaîtront pas de répit avant devoir vengé Ribanna et conjuré le « péril blanc » de la savane.

La main qui frappe

La main qui frappe


N° éditeur : 620 - N° imprimeur : 31-1631 - Dépôt légal : 3° trimestre 1947 - 171 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou III" pages 1 à 200.


Old Shatterhand (« La Main qui frappe ») raconte dans ce volume une entreprise aventureuse qu’il a menée avec l’aide de son ami Sans-Ears.
Ensemble ils sauvent un train de l’attaque d’un groupe de Peaux-Rouges, que guide le bandit blanc Fred Morgan. Puis ils se dirigent vers le Rio Pecos, dans l’espoir de retrouver Morgan, qui a abandonné, sur le lieu de l’attentat, une sacoche pleine de diamants volés.
Pendant la traversée du désert qui le sépare de ce fleuve, Old Shatterhand rencontre un de ses amis, Marshall, accompagné de son domestique noir, il apparaît que les pierreries abandonnées par le bandit appartiennent à Marshall : Fred Morgan les avait volées après avoir assassiné le père de Marshall, un joaillier. Old Shatterhand décide de châtier le criminel et le poursuit, en compagnie de Sans-Ears, du jeune Marshall et de son « frère rouge » Winnetou, jusqu’au repaire de la bande des pillards.

Winnetou, l'homme de la prairie

Le trésor des montagnes rocheuses

La trahison des comanches

Dans la forteresse des trappeurs

La main qui frappe

La poussière de la mort

La poussière de la mort


N° éditeur : 1206 - N° imprimeur : 6950-10-48 - Dépôt légal : 4° trim. 1948 - 192 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou III" pages 200 à 353.


La poussière de la mort, c’est la poussière d!or pour laquelle se livrent, dans l’Ouest, tant de combats sanglants.
Old Shatterhand (« La Main qui frappe »), Sans-Ears le fameux chasseur de l’Ouest, Winnetou, le chef des Apaches, et Bernard Marshall, un marchand de Louisville, viennent de condamner à mort Patrick et Fred Morgan, deux redoutables bandits. Au moment où Bob, un colosse noir au service de Marshall, s’apprête à exécuter la sentence, une attaque inattendue des Comanches sauve les bandits, qui s’enfuient, alors que Winnetou, Sans-Ears et Marshall restent aux mains de cette tribu cruelle. Seul, Old Shatterhand, en compagnie de Bob, a pu s’échapper. II réussit à délivrer ses amis grâce à un stratagème qui compte parmi les épisodes les plus extraordinaires de l’histoire de ces pays de l’Ouest, si fertiles en aventures de toutes sortes.
Enfin réunis, les cinq hommes se dirigent vers la Californie. Après bien des péripéties dramatiques, au milieu d’une région aurifère infestée de bandits, où le crime semble plus normal que la loi, ils retrouvent le cadavre d’Alain Marshall, assassiné et dépouillé par les Morgan. Cependant, grâce au concours d'une tribu Shoshones, l'heure de la réddition des comptes va sonner pour les deux criminels.

Les pirates du rail

Les pirates du rail


N° éditeur : 1207 - N° imprimeur : 6949-10-1948 - Dépôt légal : 4° trim. 1948 - 168 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou III" pages 354 à 476.


Old Shatterhand, en route de nouveau pour des régions peu connues du Far-West, voyage avec un sympathique et bizarre individu, le gros Walker. Celui-ci ne reconnaît pas Old Shatterhand, et il tente de détourner cet inconnu d’une expédition qu’il juge aussi vaine que dangereuse. Mais, à la suite d’une attaque de pirates du rail, Fred Walker s’aperçoit des mérites de son compagnon et lui demande de s’associer à lui pour poursuivre ces dangereux bandits, dont la police de Saint-Louis l’a chargé de s’emparer. Old Shatterhand retrouve Winnetou, le chef des Apaches, à qui le lie une tendre amitié. Tous trois suivent les bandits à la trace et bientôt les rejoignent... Ceux-ci sont associés à des Sioux, et Winnetou reconnaît, dans le chef de ceux-ci, Ko-Itcha, son ennemi juré.
Old Shatterhand et Winnetou apprennent que l’attaque du train n’était qu’une diversion destinée à attirer à leur poursuite la garnison d’Écho Canon, dont les magasins et les caisses sont leur objectif véritable. Old Shatterhand, Walter et Winnetou avertissent la garnison d’Écho Canon, qui se portait au secours du train, et qui rebrousse aussitôt chemin.
Les bandits sont repoussés et décimés, mais les survivants des Sioux ravagent dans leur fuite un village de paisibles colons et emmènent les familles prisonnières.
Old Shatterhand, Walker et Winnetou se lancent au secours des prisonniers avec quelques volontaires. Une lutte désespérée s’engage ; les Sioux sont écrasés, mais, au cours du combat, Winnetou est blessé à mort ; il meurt dans les bras de Old Shatterhand, après lui avoir confié une dernière mission, la plus sacrée de toutes : le Testament de Winnetou.

Le testament de Winnetou

Le testament de Winnetou


N° éditeur : 1208 - N° imprimeur : 6948-11-1948 - Dépôt légal : 4° trim. 1948 - 170 pages.


Illustrations de Pierre Noël
Traduction du récit : "Winnetou III" pages 477 à la fin.


Se rendant an tombeau d’Intchou-Tchouna pour accomplir les dernières volontés de Winnetou, Old Shatterhand est capturé par les Kiowas, ses ennemis. Il a eu le temps, pourtant, de déterrer le testament de Winnetou qui lui révèle la cachette du Trésor des Apaches. Mais Santer, un redoutable bandit allié des Kiowas, qui assassina jadis Intchou-Tchouna et sa fille Nao-Tsi pour s’emparer de ce trésor, l’a surpris lisant le document révélateur et il va s’efforcer de s’emparer de ce papier, tandis que Old Shatterhand est prisonnier. Les Kiowas décident que leur prisonnier sera torturé au retour des guerriers.
En attendant, quoique étroitement ligoté, Old Shatterhand est traité avec égard par les Indiens qui le respectent pour ses exploits, et le jeune chef Pida s’oppose à ce que le testament de Winnetou soit remis à Santer. Il le gardera lui-même comme part du butin. Mais, profitant de l’absence de Pida, Santer se saisit du document après avoir lâchement frappé la squaw du jeune chef. Les Indiens appellent Old Shatterhand à l’aide, il ranime la jeune femme. Revenu au camp, Pida se lance à la poursuite de Santer.
Old Shatterhand réussit alors à s’échapper. Il poursuit à son tour le bandit et rencontre des Apaches qui l’escortent. Ils rejoignent Santer qui est arrivé à la cachette du trésor, mais celui-ci est précipité dans un torrent au moment où il allait faire main basse sur les richesses, Winnetou avait placé une mine pour défendre l’accès de sa cachette, sauf aux justes héritiers. Le trésor disparaît avec le bandit, mais, du moins, les meurtres d’Intchou-Tchouna et de Nao-Tsi sont-ils vengés.

CollectionFlammarion

Pour ces éditions, le nom de l'auteur a été francisé et devient "Charles May".

Par la suite Flammarion a réédité ces livres en seulement 2 volumes : Winnetou, l'homme de la prairie et La main qui frappe et Winnetou.

La poussière de la mort

Les pirates du rail

Le testament de Winnetou


Note : Dans tous ces romans l'auteur est noté Charles May.

Editions Flammarion : Bibliothèque du chat perché

T1 - Winnetou, l'homme de la prairie

T1 - Winnetou, l'homme de la prairie


N° éditeur : 10526 - N° imprimeur : 2384-1237 - Dépôt légal : 1° trimestre 1980 - 271 pages - Achevé d'imprimer le 4 févier 1980 - ISBN 2-08-091725-0


Illustrations de de Grégoire Zbroszczyk
Traduit et adapté de l'allemand par Nathalie Gara

Traduction du récit : "Winnetou I" pages 1 à 295.


L'auteur, garçon hardi et assoiffé d’aventure, décide de partir pour le Far-West. Ses compagnons, dont certains sont fort peu sympathiques, l'appellent « Greenhorn » (blanc-bec) ce qui ne l'empêche pas de faire preuve d’habileté tant à la chasse qu’au cours de furieuses batailles opposant les Blancs aux Indiens Apaches et Kiowas. Malgré sa force et sa ruse celui que l’on a bientôt surnommé « Old Shatterhand » (la main qui frappe) n’en est pas moins fait prisonnier par les Apaches dont les chefs Intchou-Tchouna et Winnetou lui doivent la vie. Les Apaches, ignorant qu’il est leur ami, décident de faire périr les prisonniers, mais ils leur donnent une chance en soumettant Old Shatterhand à une épreuve dont il sort vainqueur. Il scelle ensuite un pacte d’amitié avec Winnetou auquel il a bientôt l'occasion de prouver sa fidélité.
A la suite d’un naufrage où il a perdu toute sa fortune, Old Shatterhand entre au service d une agence de police privée. Le hasard l'amène sur la route des Comanches, tribu en guerre contre les Apaches. Il se trouve mêlé à une farouche bataille. Les Comanches sont vaincus , nos amis sont libres et la fortune leur sourit.
Old Shatterhand retrouve ensuite son « frère de sang » Winnetou après avoir échappé à l’incendie d’une installation pétrolière et fait la connaissance du célèbre chasseur Old Firehand. Les trois valeureux guerriers défendent un train que des Indiens Ponkas s'apprêtent à attaquer. Ces brigands conduits par un bandit blanc nommé Parranoh sont vaincus, pourtant ce Parranoh réussit à prendre la fuite. Mais nos amis n'ont pas dit leur dernier mot : ils ne connaîtront pas de répit avant d'avoir nettoyé la savane de ses éléments indésirables.

T2 - Le trésor des montagnes rocheuses

T2 - Le trésor des montagnes rocheuses


N° éditeur : 10567 - N° imprimeur : 2389-1238 - Dépôt légal : 2° trimestre 1980 - 255 pages - Achevé d'imprimer le 3 mars 1980 - ISBN 2-08-091726-9


Illustrations de de Grégoire Zbroszczyk
Traduit et adapté de l'allemand

Traduction du récit : "Winnetou I" pages 296 à la fin.


 

T3 - La trahison des commanches

T3 - La trahison des commanches


N° éditeur : 10636 - N° imprimeur : 2390-1239 - Dépôt légal : 3° trimestre 1980 - 348 pages - Achevé d'imprimer le 10 juillet 1980 - ISBN 2-08-091727-7


Illustrations de de Grégoire Zbroszczyk
Traduit et adapté de l'allemand par Nathalie Gara

Traduction du récit : "Winnetou II" pages 1 à 392.


 

T4 -Dans la forteresse des trappeurs

T4 -Dans la forteresse des trappeurs


N° éditeur : 11077 - N° imprimeur : 2400-1092 - Dépôt légal : 4° trimestre 1981 - 253 pages - Achevé d'imprimer le 5 octobre 1981 - ISBN 2-08-091734-X


Illustrations de de Grégoire Zbroszczyk
Traduit et adapté de l'allemand par Nathalie Gara


Le narrateur Old Shatterhand poursuit ici le récit des aventures qu'il a connues en compagnie de son ami et frère rouge, Winnetou, dans Winnetou, l'homme de la Prairie, Le trésor des montagnes Rocheuses et La trahison des Comanches. Au cours des épisodes de ce tome 4 vont se retrouver réunis les fidèles compagnons que sont Winnetou et Old Shatterhand, Old Firehand et Sam Hawkens. Ils auront affaire à des adversaires redoutables en la personne d'Indiens Ponkas. Ceux-ci sont dirigés par un Blanc qui, autrefois, fut le meurtrier de la femme de Old Firehand. Ainsi, au milieu des rivalités tribales, des haines raciales et des supercheries de Blancs peu scrupuleux, Winnetou poursuit son difficile chemin, dans le but d'empêcher l'injustice et de faire régner la fraternité. Comme toujours, Old Shatterhand conduit son récit avec flegme et humour; ceci n'empêche pas l'émotion d'y percer parfois, et le lecteur prend conscience du fait que Karl May le pacifiste défend à travers son personnage Winnetou une cause déjà perdue : celle de la sauvegarde de l'indépendance et du patrimoine indiens.

La main qui frappe

T1 - La main qui frappe et Winnetou


N° édition : 11555 - N° impression : 164-989 - Dépôt légal : mars 1983 - 234 pages - Achevé d'imprimer le 4 février 1983 - ISBN 2-08-0911759-5


Illustrations de de Grégoire Zbroszczyk
Traduit et adapté de l'allemand par Nathalie Gara


Le narrateur Old Shatterhand ("La main qui frappe") nous fait ici le récit d'une entreprise aventureuse qu'il a menée avec l'aide de son nouvel ami Sans-Ears, le fameux chasseur de l'Ouest.
En compagnie de Bernard Marshall, marchand à Louisville, de Bob, le serviteur noir de celui-ci, et de son "frère rouge" Winnetou, le chef des Apaches, Old Shatterhand va traquer jusqu'à leur repaire une bande de pillards meurtriers.
Comme dans les précédents ouvrages du même auteur, la série des Winnetou, l'homme de ta Prairie, Old Shatterhand conduit son récit avec flegme et humour. Les exploits des hardis chasseurs de l'Ouest, leur témérité et leur ingé- niosité nous sont retracés avec un souci du détail réaliste et une vivacité dans la narration qui font la qualité des textes de Karl May, pour le plus grand plaisir de ses lecteurs.

T1 - Winnetou, l'homme de la prairie

T2 - Le trésor des montagnes rocheuses

T3 - La trahison des commanches

T4 - Dans la forteresse des trappeurs

T1 - La main qui frappe et Winnetou


Flammarion a repris pour cette nouvelle édition les traductions des romans des années 40 avec quelques changements mineurs dans la tournure des phrases. Exemple tiré du tome 1 de 1944 (...) des Apaches, qui, comme on peut le penser, se montraient très hostiles (...) puis du tome 1 de 1980 (...) des Apaches, qui, évidemment, se montraient très hostiles (...).
D'autre part les illustrations de Grégoire Zbroszczyk, en particulier les couvertures, sont inspirés des films de winnetou des années 60. Les romans sont traduits et adaptés de l'allemand par Nathalie Gara.
Note : Dans cette nouvelle édition l'auteur a retrouvé son vrai nom : Karl May.


Editions Flammarion

Winnetou l'homme de la prairie

Winnetou, l'homme de la prairie


N° éditeur : 4596 - N° imprimeur : 10-1962 - Dépôt légal : 4° trimestre 1962 - 541 pages.


Une histoire d'aventure et d'amitié devenu un classique de la littérature.


L'auteur, garçon hardi et assoiffé d’aventure, décide de partir pour le Far-West. Ses compagnons, dont certains sont fort peu sympathiques, l'appellent « Greenhorn » (blanc-bec) ce qui ne l'empêche pas de faire preuve d’habileté tant à la chasse qu’au cours de furieuses batailles opposant les Blancs aux Indiens Apaches et Kiowas. Malgré sa force et sa ruse celui que l’on a bientôt surnommé « Old Shatterhand » (la main qui frappe) n’en est pas moins fait prisonnier par les Apaches dont les chefs Intchou-Tchouna et Winnetou lui doivent la vie. Les Apaches, ignorant qu’il est leur ami, décident de faire périr les prisonniers, mais ils leur donnent une chance en soumettant Old Shatterhand à une épreuve dont il sort vainqueur. Il scelle ensuite un pacte d’amitié avec Winnetou auquel il a bientôt l'occasion de prouver sa fidélité.
A la suite d’un naufrage où il a perdu toute sa fortune, Old Shatterhand entre au service d une agence de police privée. Le hasard l'amène sur la route des Comanches, tribu en guerre contre les Apaches. Il se trouve mêlé à une farouche bataille. Les Comanches sont vaincus , nos amis sont libres et la fortune leur sourit.
Old Shatterhand retrouve ensuite son « frère de sang » Winnetou après avoir échappé à l’incendie d’une installation pétrolière et fait la connaissance du célèbre chasseur Old Firehand. Les trois valeureux guerriers défendent un train que des Indiens Ponkas s'apprêtent à attaquer. Ces brigands conduits par un bandit blanc nommé Parranoh sont vaincus, pourtant ce Parranoh réussit à prendre la fuite. Mais nos amis n'ont pas dit leur dernier mot : ils ne connaîtront pas de répit avant d'avoir nettoyé la savane de ses éléments indésirables.

La main qui frappe et Winnetou

La main qui frappe et Winnetou


N° éditeur : 7971 - N° imprimeur : 4424 - Dépôt légal : 4° trimestre 1962 - 482 pages.


Achevé d'imprimer le 11 septembre 1973.


Nous retrouvons ici Old Shatterhand, son ami Sans Ears et Winnetou qui, une fois de plus, ont décidé de poursuivre les hors la loi qui écumentla prairie. A la suite de nombreuses aventures où nos amis font toujours preuve d’un courage et d’une astuce exceptionnels, Winnetou, blessé à mort, expire dans les bras de Old Shatterhand auquel il confie ses dernières volontés. Une terrible lutte s’engagera autour du testament de Winnetou qui révèle la cachette du Trésor des Apaches.

Le trésor du lac d'argent

Le trésor du lac d'argent


N° éditeur : 4794 - N° imprimeur : 7507 - Dépôt légal : 4° trimestre 1963 - 298 pages.


Old Firehand dont la réputation n'est plus à faire, le colosse Tom le Noir célèbre Rafter (bûcheron) ainsi que Grand Ours chef de la tribu des Tonkawas accompagné de son fils Petit Ours sont sur le bateau à aube Dog-Fish, sur l'Arkansas. Malheureusement, la canaille Cornel Brinkley et une vingtaine de tramps (vagabonds) patibulaires sont également à bord. Cette bande a de nombreux projets : dévaliser Tom qui apporte la paie à un camp de Rafters, attaquer la ferme du riche fermier Butler, voler un demi-million de dollars aux chemins de fer et se rendre au Lac d'Argent où serait caché un fabuleux trésor. La bande de hors la loi dérobe la paie à Tom le Noir et celui-ci, accompagné de Old Firehand et des deux indiens, se lance à leur poursuite. En cours de route ils seront rejoints par un policier appelé Tante Droll, original par sa tenue qui a tendance à lui donner l'aspect d'une femme, et par nos héros Old Shatterhand et Winnetou. Les aventures épiques s'enchaîneront et les coups de théâtre ne manqueront pas...

Main-sûre l'infaillible

Main-sûre l'infaillible


N° éditeur : 5040 - N° imprimeur : 7821 - Dépôt légal : 4° trimestre 1964 - 345 pages.


Achevé d'imprimer le 2 septembre 1964.


C'est le nouveau compagnon d'OId Shatterhand et de Winnetou. Comme eux, il est fort, il est beau, il est brave, il a tous les talents d'un véritable héros de l'Ouest. Il est aussi très grand, et souvent très triste. Car ce géant valeureux et mélancolique a son mystère. Retrouvera-t-il le secret de son douloureux passé ? Parviendra-t-il à se venger des ennemis qui l'ont contraint à son existence errante, et qui se dérobent à son implacable poursuite ?
Nous l'apprendrons en chevauchant avec lui dans l’interminable Prairie, dans le sinistre désert du Llano Estacado, dans les forêts où, derrière chaque buisson, le féroce Comanche est à l'affût.

Le secret de Old Surehand

Le secret de Old Surehand


N° éditeur : 5276 - N° imprimeur : 8131 - Dépôt légal : 3° trimestre 1965 - 345 pages.


Achevé d'imprimer le 2 aout 1965.


« Surehand » l'infaillible, est tout d'abord insaisissable. Old Shatterhand, avec son inséparable Winnetou, est parti à sa recherche, échappant aux périls des rixes tumultueuses que déchaînent les authentiques bandits mêlés à la foule des trappeurs et des chercheurs d'or dans l'auberge enfumée de la mère Thick, puis aux assauts des Peaux-Rouges hostiles contre les fermes isolées dans la plaine.
A la Prairie infinie succède le relief tourmenté des Rocheuses, aux vallées peuplées d'ours gigantesques et carnassiers.
A peine retrouvé, Old Surehand échappe à ceux qui veulent le sauver presque malgré lui. Mais une ultime chevauchée sur la Tête du Diable nous le rendra et le rendra à son mystérieux passé.

Winnetou, l'homme de la prairie

La main qui frappe et Winnetou

Le trésor du lac d'argent

Main-sûre l'infaillible

Le secret de Old Surehand


Autres éditions

Editions Rencontre

Editions Hemma

Gründ Paris

L'Anaïa du brigand

L'Anaïa du brigand


Bibliothèque des jeunes - Achevé d'imprimer en juin 1953 sur les presses de l'imprimerie H. Jauni S.A. Lausanne - 188 pages.


Traduction J. de Rochay - Illustrations de Rose-Marie Eggmann
Traduction du récit : "Die Gum".


 

Winnetou fils de la prairie

Winnetou fils de la prairie d'après Carl May


N° éditeur : S. 1055 - N°15 - N° imprimeur : 1967/0058/34 - Dépôt légal : ? - 120 pages.


Illustrations de Okley.


 

Winnetou et le mystère d'Old Surehand

Winnetou et le mystère d'Old Surehand d'après Charles May


N° éditeur : S.55 - N° 37 - N° imprimeur : 1972/0058/43 - Dépôt légal : ? - 126 pages.


Illustrations de Okley.


 

Trésor légendaire des indiens d'Amérique

Trésor légendaire des indiens d'Amérique


ISBN : 2-7000-1604-1 - N° imprimeur : 1/08/08/53 - Dépôt légal : 1980 - 304 pages.


L'esprit du Llano Estacado par Kal May


Il convient habituellement de réserver le terme de légendaire à l'évocation de mythes, de récits légendaires ou de fables et contes populaires n'ayant généralement avec la réalité historique que des rapports symboliques ou allégoriques. Le cas de l'Amérique du Nord est très différent. Même si l'épopée grandiose et brutale de la Conquête de l'Ouest se situe dans la seconde moitié du XIXe siècle, les événements qui la ponctuent appartiennent à une certaine mythologie: celle du Grand Nord, du Sud des États-Unis, de la Prairie et, surtout, du Far West (littéralement: Ouest Lointain). Pour bien réels qu'ils aient été, les cow-boys, trappeurs, chasseurs, émigrants, soldats de l'armée fédérale et Indiens s'apparentent aux « héros » des légendes antiques ou des grandes sagas et fresques épiques de l'Ancien Continent. D'où le succès toujours vivace des films dits « westerns » ou des textes littéraires et populaires consacrés à cette épopée aux facettes multiples ou à un folklore qui, pour relativement récent qu'il soit, demeure particulièrement riche.
Notre TRÉSOR LÉGENDAIRE DES INDIENS D'AMÉRIQUE DU NORD offre un choix très révélateur : à travers six textes, nous parcourons de nombreux lieux d'Amérique du Nord, participons à la vie exaltante et pleine de risques des rudes coureurs de piste, assistons à la vie quotidienne et rituelle des Indiens, — alliés parfois aux Blancs pour les guider ou les aider à combattre de dangereux bandits évoluant à travers les vastes et redoutables solitudes, ou défendant âprement leurs territoires ancestraux convoités par les nouveaux maîtres de l'Ouest. Dans ces récits, nous ferons connaissance avec des personnages pittoresques ou héroïques: comme l'inoubliable Uncas, de l'écrivain romantique américain James Fenimore Cooper, dernier des Mohicans — « frère » lointain de l'Abencérage de Chateaubriand.

Aventures en Pays lointain

Aventures en Pays lointain


ISBN : 2-7000-1144-9 - N° imprimeur : 1/18/06/53-01 - Dépôt légal : 1984 - 208 pages.


Dans le Sahara par Kal May (24 pages).


 

L'Anaïa du brigand

Winnetou fils de la prairie

Winnetou et le mystère d'Old Surehand

Trésor légendaire des indiens d'Amérique

Aventures en Pays lointain

O.D.E.J.

Éditions Delhomme et Briquet

Éditions Baudelaire

L'intrépide
N° 372
Winnetou l'homme de la prairie

Winnetou, l'homme de la prairie


N° éditeur : 4596 - N° imprimeur : 10-1962 - Dépôt légal : 4° trimestre 1962 - 541 pages.


L'auteur, garçon hardi et assoiffé d’aventure, décide de partir pour le Far-West. Ses compagnons, dont certains sont fort peu sympathiques, l'appellent « Greenhorn » (blanc-bec) ce qui ne l'empêche pas de faire preuve d’habileté tant à la chasse qu’au cours de furieuses batailles opposant les Blancs aux Indiens Apaches et Kiowas. Malgré sa force et sa ruse celui que l’on a bientôt surnommé « Old Shatterhand » (la main qui frappe) n’en est pas moins fait prisonnier par les Apaches dont les chefs Intchou-Tchouna et Winnetou lui doivent la vie. Les Apaches, ignorant qu’il est leur ami, décident de faire périr les prisonniers, mais ils leur donnent une chance en soumettant Old Shatterhand à une épreuve dont il sort vainqueur. Il scelle ensuite un pacte d’amitié avec Winnetou auquel il a bientôt l'occasion de prouver sa fidélité.
A la suite d’un naufrage où il a perdu toute sa fortune, Old Shatterhand entre au service d une agence de police privée. Le hasard l'amène sur la route des Comanches, tribu en guerre contre les Apaches. Il se trouve mêlé à une farouche bataille. Les Comanches sont vaincus , nos amis sont libres et la fortune leur sourit.
Old Shatterhand retrouve ensuite son « frère de sang » Winnetou après avoir échappé à l’incendie d’une installation pétrolière et fait la connaissance du célèbre chasseur Old Firehand. Les trois valeureux guerriers défendent un train que des Indiens Ponkas s'apprêtent à attaquer. Ces brigands conduits par un bandit blanc nommé Parranoh sont vaincus, pourtant ce Parranoh réussit à prendre la fuite. Mais nos amis n'ont pas dit leur dernier mot : ils ne connaîtront pas de répit avant d'avoir nettoyé la savane de ses éléments indésirables.

L'empire du dragon

L'Empire du Dragon, souvenirs d'Asie, par le Dr Karl May


Imprimeur : Emile Colin - imprimerie de Lagny - Dépôt légal : 1900 - pages 284.


 

Traduction du récit : Der Kiang-lu paru pour la première fois en 1880. Par la suite le récit a été intégré 1894 dans le volume 11 des "Gesammelten Reiseromane": Am Stillen Ocean (pages 69 à 318).
Dans la version français on retrouve les deux chapitres : "Dans un Kouang-ti-miao" (dans la version originale : Im "Kuang-ti-miao") et "Dans un Louang-keou-siang" page 150 (dans la version originale : Im "Lung-keu-siang")


La traduction de L’Empire du dragon. Souvenirs d’Asie n’est pas créditée. Dans sa bibliographie de Juliette Charoy, Joseph Brucker la lui attribue (Joseph Brucker ; Notice biographique, dans J. de Rochay, Fragments d’un Journal intime, Paris, G. Beauchesne, (1906), p. XLII).


Présentation du roman par J. de Rochay, « Les Romans nouveaux », Revue du monde catholique, tome 109, 1er janv. 1892, p. 160:
« L'Empire du Dragon et Le Fils du chasseur d'ours. Ces deux volumes continuent la série des reproductions des récits de voyage que l'intrépide conteur, M. Karl May, multiplie avec une verve si féconde. Ayant traduit nous-même un assez grand nombre des ouvrages de M. May, nous souhaitons très volontiers la bienvenue à ces nouvelles publications. Nous n’avons pas, du reste, beaucoup à nous étendre sur ces deux volumes, dont les titres sont assez significatifs. On connaît la manière du Dr May : il procède presque toujours par des dialogues très vifs, très amusants ; les notions topographiques dont ses livres abondent sont exactes, sans pédantisme. Franchement catholique, le narrateur n’hésite point à le témoigner quand l’occasion s’en présente ; il ne se lance jamais, néanmoins, ni dans de longues controverses, ni dans des considérations hors de propos. Les jeunes lecteurs le goûtent beaucoup ; il les instruit souvent et les captive toujours, par le récit, mis en action, de ses aventures, de ses prouesses, de ses rencontres merveilleuses, dans les pays les plus curieux du globe. »

Le fils du chasseur d'ours

Le Fils du chasseur d'ours, par le Dr Karl May


Dépôt légal : 1900 - 288 pages.


Emile Colin - Imprimerie de Lagny
Traduction d'Élisabeth Loisel


 

Le roi des apaches

Le roi des apaches


Dépôt légal : 1962 - 139 pages.


Collection « Chefs D'Oeuvres » n° 7
Adaptation H. Barton - Illustrations de Zucca


Par Mayne Reid ... Il s'agit en fait de Winnetou I de Karl May... Winnetou s'appelle Winneton
Nota : ce livre a été réédité par les Editions Bel-Air en 1964.

L'intrépide numéro 372

L'intrépide numéro 372


N° 372 - 12 pages - 7 octobre 1917 - 19,5 x 29 cm .


L'Intrépide était un hebdomadaire illustré pour enfants publié de 1910 à 1937, créé par la Société parisienne d'édition (SPE) (maison d'édition des frères Offenstadt) pour concurrencer le Journal des voyages.
Le premier numéro est daté du 22 mai 1910, le dernier numéro (n° 1400) paraît le 20 juin 1937.


Dans cette collection est paru le roman « Le trésor du lac d'argent » de Karl May. Le récit débute au numéro 372 et se termine avec le numéro 426, le 20 octobre 1918.
Le nom de l'auteur n'est pas mentionné, car la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
C'est certainement aussi pour cette raison que les personnages Allemands deviennent Français :
- Moi ? Je m’appelle Grandier… Robert Grandier… À votre santé, cornel !
— Tiens ! fit-il d’un ton méprisant, vous portez un nom français, il me semble ? Seriez-vous, par hasard, né en France ?

Les banis du désert

L'empire du dragon

Le fils du chasseur d'ours

Le roi des apaches

Le trésor du lac d'argent

Editions Post-Scriptum

Karl May Verlag

 

 

 

L'héritage de l'Inca

L'héritage de l'Inca


Eéditeur : Editions Post Scritumm - Dépôt légal : 21 mai 2020 - 443 pages. Existe aussi au format Kindle.

Traduit de l'allemand par Steliana Pujolras.


L'héritage des IncasKarl Friedrich May (1842 – 1912), le plus célèbre et le plus authentique des écrivains de la littérature allemande, a marqué à tout jamais la littérature populaire du monde. Depuis plus d’un siècle, ses nombreux romans d’aventures ont rencontré un remarquable succès à travers de nombreux pays, en portant l’imagination de millions de lecteurs aux quatre coins de la terre, des Cordillères jusqu’au Proche-Orient.Le présent ouvrage est resté jusqu’à ce jour une des rares œuvres incomplètes, car seulement les premiers chapitres de ce roman ont été imprimés en 1937, sous le titre « Le trésor de l’Inca » et cet admirable récit d’aventures demeurait encore inconnu au public français. La parution de cet ouvrage aux éditions Post-Scriptum a été considérée comme un acte de restitution nécessaire. L’HÉRITAGE DE L’INCA se révèle être une saga rebondissante et divertissante, ayant une finesse éducative et morale qui captivera incontestablement les lecteurs de tous âges.

Le corsaire

Le corsaire


Eéditeur : Karl May Verlag Radebeul bei Dresden - Date de publication 1917 - 124 pages - 10,5 x 17,5 cm (Hoffmannsche Buchdruckerei Felix)
Titre avec marque de censure (Z XIX).

Traduit de l'allemand par Francois Parny.


En 1917, la maison d'édition Karl May publie une traduction française du roman Robert Surcouf, intitulée Le Corsaire, principalement destinée aux prisonniers de guerre français


À l'automne 1793, le jeune Surcouf qui se trouve à Beausset aide un prêtre, le père Martin, assailli par des soldats, et rencontre à cette occasion Bonaparte. Ce dernier ne lui a pas donné le navire de guerre demandé, alors Surcouf s’est emparé à Toulon d’un navire britannique appelé « La poule » qu’il a rebaptisé « Le faucon ». Plusieurs années plus tard, il est un capitaine redouté et pourchassé par les Anglais dans l’océan Indien. Il combat l’Irlandais Schooter, le capitaine du cutter « Eagle » et sauve à nouveau le prêtre.
De retour en France, Bonaparte lui donne satisfaction, mais il refuse l’offre de prendre le commandement d’un navire. Après des paroles prophétiques adressées à Bonaparte leurs voies se séparent.

 



 


 



 


 



 


L’héritage de l'Inca

Le Corsaire

 

 

 


Collection d'Aventures (350 à 354)

Le trésor du lac d'argent

Le trésor du lac d'argent


Fascicule n° 350 - 48 pages.


Scan du fascicule - Le Trésor du Lac d'argent

Le Trésor du Lac d'argentPar Jean Aleyrac ... (un pseudonyme collectif sous lequel on retrouve, entre autres, des titres de Karl May.)


Il s'agit en fait du roman « le trésor du lac d'argent » de Karl May... Old Shatterhand s'appelle Great-Shatterhand et Old Firehand s'appelle Great-Firehand.
Selon Jean Aleyrac Great-Shatterhand est français : « Je crois bien qu’il est Français ! s’écria Frank. C’est un pur sang ! Il est natif de Paris. Il paraît que vous avez au nord de votre grande capitale une espèce de colline dénommée « La butte Montmartre » ? Eh bien, c’est là qu’est né Great-Shatterhand. De son vrai nom, il s’appelle Richard Sardier. »


Autres titres de Jean Aleyrac :
350. Le Trésor du Lac d'argent
351. Dans la prairie « houleuse »
352. La Grande-Main-de-Feu
353. Le Canon nocturne
354. La Vallée des cerfs

Ces 5 fascicules forment un seul roman : selon Ulrich von Thüna ce sont les seuls à mettre au crédit de Karl May, la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
Entre 1916 et 1926, La Collection d’Aventures éditée par Offenstadt, 3, rue de Rocroy, Paris 10e, proposait chaque semaine à ses lecteurs des fascicules de 32 à 80 pages (534 numéros au total).

Dans la prairie « houleuse »

Dans la prairie « houleuse »


Fascicule n° 351 - 48 pages.


Dans la prairie « houleuse »Par Jean Aleyrac ... (un pseudonyme collectif sous lequel on retrouve, entre autres, des titres de Karl May.)


Il s'agit en fait du roman « le trésor du lac d'argent » de Karl May... Old Shatterhand s'appelle Great-Shatterhand et Old Firehand s'appelle Great-Firehand.
Selon Jean Aleyrac Great-Shatterhand est français : « Je crois bien qu’il est Français ! s’écria Frank. C’est un pur sang ! Il est natif de Paris. Il paraît que vous avez au nord de votre grande capitale une espèce de colline dénommée « La butte Montmartre » ? Eh bien, c’est là qu’est né Great-Shatterhand. De son vrai nom, il s’appelle Richard Sardier. »


Autres titres de Jean Aleyrac :
350. Le Trésor du Lac d'argent
351. Dans la prairie « houleuse »
352. La Grande-Main-de-Feu
353. Le Canon nocturne
354. La Vallée des cerfs

Ces 5 fascicules forment un seul roman : selon Ulrich von Thüna ce sont les seuls à mettre au crédit de Karl May, la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
Entre 1916 et 1926, La Collection d’Aventures éditée par Offenstadt, 3, rue de Rocroy, Paris 10e, proposait chaque semaine à ses lecteurs des fascicules de 32 à 80 pages (534 numéros au total).

La Grande-Main-de-Feu

La Grande-Main-de-Feu


Fascicule n° 352 - 48 pages.


Dans la prairie « houleuse »Par Jean Aleyrac ... (un pseudonyme collectif sous lequel on retrouve, entre autres, des titres de Karl May.)


Il s'agit en fait du roman « le trésor du lac d'argent » de Karl May... Old Shatterhand s'appelle Great-Shatterhand et Old Firehand s'appelle Great-Firehand.
Selon Jean Aleyrac Great-Shatterhand est français : « Je crois bien qu’il est Français ! s’écria Frank. C’est un pur sang ! Il est natif de Paris. Il paraît que vous avez au nord de votre grande capitale une espèce de colline dénommée « La butte Montmartre » ? Eh bien, c’est là qu’est né Great-Shatterhand. De son vrai nom, il s’appelle Richard Sardier. »


Autres titres de Jean Aleyrac :
350. Le Trésor du Lac d'argent
351. Dans la prairie « houleuse »
352. La Grande-Main-de-Feu
353. Le Canon nocturne
354. La Vallée des cerfs

Ces 5 fascicules forment un seul roman : selon Ulrich von Thüna ce sont les seuls à mettre au crédit de Karl May, la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
Entre 1916 et 1926, La Collection d’Aventures éditée par Offenstadt, 3, rue de Rocroy, Paris 10e, proposait chaque semaine à ses lecteurs des fascicules de 32 à 80 pages (534 numéros au total).

Le Cañon Nocturne

Le Cañon Nocturne


Fascicule n° 353 - 48 pages.


Le Cañon NocturnePar Jean Aleyrac ... (un pseudonyme collectif sous lequel on retrouve, entre autres, des titres de Karl May.)


Il s'agit en fait du roman « le trésor du lac d'argent » de Karl May... Old Shatterhand s'appelle Great-Shatterhand et Old Firehand s'appelle Great-Firehand.
Selon Jean Aleyrac Great-Shatterhand est français : « Je crois bien qu’il est Français ! s’écria Frank. C’est un pur sang ! Il est natif de Paris. Il paraît que vous avez au nord de votre grande capitale une espèce de colline dénommée « La butte Montmartre » ? Eh bien, c’est là qu’est né Great-Shatterhand. De son vrai nom, il s’appelle Richard Sardier. »


Autres titres de Jean Aleyrac :
350. Le Trésor du Lac d'argent
351. Dans la prairie « houleuse »
352. La Grande-Main-de-Feu
353. Le Canon nocturne
354. La Vallée des cerfs

Ces 5 fascicules forment un seul roman : selon Ulrich von Thüna ce sont les seuls à mettre au crédit de Karl May, la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
Entre 1916 et 1926, La Collection d’Aventures éditée par Offenstadt, 3, rue de Rocroy, Paris 10e, proposait chaque semaine à ses lecteurs des fascicules de 32 à 80 pages (534 numéros au total).

La Vallée des cerfs

La Vallée des cerfs


Fascicule n° 354 - 48 pages.


Dans la prairie « houleuse »Par Jean Aleyrac ... (un pseudonyme collectif sous lequel on retrouve, entre autres, des titres de Karl May.)


Il s'agit en fait du roman « le trésor du lac d'argent » de Karl May... Old Shatterhand s'appelle Great-Shatterhand et Old Firehand s'appelle Great-Firehand.
Selon Jean Aleyrac Great-Shatterhand est français : « Je crois bien qu’il est Français ! s’écria Frank. C’est un pur sang ! Il est natif de Paris. Il paraît que vous avez au nord de votre grande capitale une espèce de colline dénommée « La butte Montmartre » ? Eh bien, c’est là qu’est né Great-Shatterhand. De son vrai nom, il s’appelle Richard Sardier. »


Autres titres de Jean Aleyrac :
350. Le Trésor du Lac d'argent
351. Dans la prairie « houleuse »
352. La Grande-Main-de-Feu
353. Le Canon nocturne
354. La Vallée des cerfs

Ces 5 fascicules forment un seul roman : selon Ulrich von Thüna ce sont les seuls à mettre au crédit de Karl May, la publication sous un nom Allemand pouvait être mal perçue en France à cette époque.
Entre 1916 et 1926, La Collection d’Aventures éditée par Offenstadt, 3, rue de Rocroy, Paris 10e, proposait chaque semaine à ses lecteurs des fascicules de 32 à 80 pages (534 numéros au total).

Le Trésor du Lac d'argent

Dans la prairie « houleuse »

La Grande-Main-de-Feu

Le Cañon Nocturne

La Vallée des cerfs


Editions Blanche de Peuterey

L'empire du dragon

L'Empire du Dragon


ISBN : 978-2-36878-223-1 - livre électronique.
Editions Blanche de Peuterey


Nous retrouvons dans ce récit Charley Shatterhand, l’ami de l’indien Winnetou, qui cette fois s’est embarqué sur un navire à destination de la Chine. Son navire, piloté par le capitaine Turnestick, se trouve pris dans une tempête au large des îles Bonins. Contraints d’accoster pour réparer les dégâts de la tempête, Charley et Turnestick partent chasser. Charley sauve alors d’une mort certaine un jeune chinois, fils d’un mandarin, qui lui donne en récompense un pendentif, marque insigne de pouvoir.
Charley et Turnestick (sorte de Capitaine Haddock sympathique) sont obligés de partir pour le port de Macao, car la réparation du bateau est plus compliquée que prévue. Bien que leur jeune rescapé les en dissuade, ils décident de partir visiter la ville.
S’en suit toute une série d’aventures, aux prises avec la mafia locale. Charley, qui maîtrise parfaitement le chinois, et Turnestick réussissent à se tirer d’affaire, en particulier grâce au pendentif, et finissent par rencontrer le père de leur jeune ami, qui doit à Charley une reconnaissance éternelle.
Là encore, autre aventure, Charley et Turnestick sauveront une jeune chrétienne et sa fille. La femme était emprisonnée par son mari, qui n’acceptait pas sa foi, et la fille était promise en mariage au jeune fils de mandarin rescapé au début de l’histoire.
Il se passe plein de choses dans ce roman. Facile à lire, grâce aux nombreux dialogues, il est agréable et enthousiasmant, en grande partie à cause de la figure du héros, qui n’est pas un super-héros moderne, mais un homme vertueux et un ami fidèle.

Le fils du chasseur d'ours

Le fils du chasseur d'ours


ISBN : 978-2-36878-228-6 - livre format papier - 264 pages et livre électronique.
Editions Blanche de Peuterey


Le « chasseur d’ours » a été enlevé par les indiens shoshones. Son fils, aidé de quelques trappeurs, de l’indien Winnetou et de Old Shatterhand, part à sa recherche pour le sauver d’une mort certaine.
Une succession d’aventures dans le Far West, dans lesquelles Winnetou et Old Shatterhand se distinguent par leur humanité. L’Européen, animé par sa foi chrétienne et sa force exceptionnelle, respecte l’adversaire et le force à abandonner la violence ou la vengeance. Une agréable épopée, avec, bien évidemment, une fin heureuse.

Surcouf le corsaire

Surcouf le corsaire


ISBN : 978-2-36878-140-1 - livre électronique.
Editions Blanche de Peuterey
Existe aussi au format Kindle et Apple Store


Nous cherchions, depuis un certain temps, des livres et romans pour la jeunesse, qui soient libres de droit, pas trop diffusés, et pas complètement démodés. Il nous semble que « Surcouf le Corsaire » répond à ces critères, surtout dans la première partie du livre.
Le roman est très agréable à lire, et on y retrouve les qualités traditionnelles du héros : génie, enthousiasme, détermination, amitié, dévouement, générosité… et l’on pourrait ajouter : entêtement face à l’autorité qui ne veut pas l’écouter. Tout en conservant un amour de la Patrie que rien n’ébranle. Surcouf est vraiment le héros qui se sacrifie pour les autres et son pays, seul marin de l’époque à résister à la perfide Albion. Les aventures sont passionnantes, le rythme est agréable : un bon livre pour la jeunesse.
La deuxième partie du livre, le Tedetou, est une aventure au désert qui garde un lien réel mais assez ténu avec Surcouf. Nous avons conservé cette partie par respect pour l’auteur.

Winnetou - L'homme de la prairie

Winnetou - L'homme de la prairie


ISBN : 978-2-36878-226-2 - livre format papier -320 pages et livre électronique.
Editions Blanche de Peuterey - dépot légal Novembre 2020
Livre dédicacé.


Alors qu’il travaille à la pose du chemin de fer sur le territoire des États-Unis d’Amérique, un jeune européen fait la connaissance de Winnetou, chef apache, qui revendique les terres de ses ancêtres dont la compagnie de chemin de fer l’a exproprié. D’abord ennemis, l'expatrié, doué d'une force hors du commun, mû également par ses vertus chrétiennes, finit par faire comprendre à l'Apache qu’il ne lui est pas hostile. L'indien découvrira la droiture d’intention de Old Shatterhand, et deviendra son ami. Un beau roman pour la jeunesse, pour découvrir les vertus de l’amitié, dans le cadre sauvage du Far West américain.

La trahison des Comanches

La trahison des Commanches


ISBN : 978-2-36878-234-7 - livre format papier -249 pages et livre électronique.
Editions Blanche de Peuterey - dépot légal juillet 2021.


Troisième tome des aventures de Winnetou et de son inséparable ami Old Shatterhand, que nous retrouvons à Saint-Louis, où il est devenu détective privé. Son employeur le charge d'une mission délicate : ramener à sa famille le fils du banquier Ohlert. Comme toujours avec Karl May, les rebondissements du récit sont nombreux. Old Shatterhand parcourt de vastes régions proches de la frontière Mexicaine, où s’affrontent les partisans de l’empereur Maximilien et de son opposant Juarez. Old Shatterhand fait la connaissance d'un autre héros de l’Ouest américain, Old Death. Ils se retrouvent associés à un groupe de Comanches, une tribut indienne en guerre contre les Apaches, la tribut de Winnetou.

L'Empire du Dragon

Le fils du chasseur d'ours

Surcouf le corsaire

Winnetou - L'homme de la prairie

La trahison des Commanches


Publication sur Amazon.fr

Dans les gorges des Balkans : Souvenirs de voyage

Dans les gorges des Balkans : Souvenirs de voyage


N° éditeur : Auto publication sur Amazon.fr - ISBN-13 : 979-8344984155 - Dépôt légal : 12 novembre 2024 - 386 pages - Dimensions : 15.24 x 2.21 x 22.86 cm .


De Jean-Louis Detandt (Auteur), Arsène-Dylan Klein (Avec la contribution de), Daniel Zdacek (Traduction) .


Dans les gorges des Balkans

« Dans les gorges des Balkans » est un roman passionnant et riche en aventures qui décrit le voyage de Kara ben Nemsi et Halef Omar à travers la région des Balkans. L’œuvre offre un mélange unique d’aventure, de culture et d’histoire et constitue une partie importante du cycle oriental de Karl May.
L’histoire se déroule dans la région karstique qui s’étend de l’ancienne Andrinople, ville fondée par l’empereur Hadrien, l’actuelle Edirne, jusqu’à Ostromdscha (aujourd’hui Strumica) qui se trouve dans le sud-est de la Macédoine. C’est un pays montagneux diversement structuré, qui ne comporte que quelques grandes plaines. Le climat se caractérise par des étés chauds et des hivers froids. Des chênes, des hêtres et des sapins poussent dans les vallées et des prairies vertes alternent avec des steppes d’herbe sèche. Les peuples se rencontrent ici depuis l’Antiquité. Goths et Byzantins, Albanais, Bulgares et Grecs, Serbes et Turcs se sont battus ici.
L’histoire commence lorsque Kara ben Nemsi part d’Edirne avec Halef, Osco et Omar ben Sadek à la rencontre de nouveaux dangers...

 



 


 



 


 



 


 



 


Dans les gorges des Balkans

 

 

 

 


Journaux et revues

L'inédit n°44

Rosita - pemière partie - La fille du Grand d'Espagne - Chapitre III (suite)


N° 44 - 13 mars 1913 - Aministration : 3, rue de Rocroy Paris - 16 pages.


Hebdomadaire, 16 pages de format 22 x 31


Sous le titre « Rosita » est paru du 31 janvier 1913 au 30 juillet 1914 une traduction française du roman « Waldröschen » de Karl May. Le récit s’est arrêté au bout des 817 premières pages de l’édition Münchmeyer qui en compte 2612, certainement en raison du début de la première guerre mondiale. Il est à noter que le nom de Karl May n’est pas mentionné car il a été publié en Allemagne sous le pseudonyme « Capitain Ramon Diaz de la Escosura ».

L'inédit n°70

Rosita - deuxième partie - Vingt ans avant - I. - La Zingarita (suite)


N° 70 - 11 septembre 1913 - Aministration : 3, rue de Rocroy Paris - 16 pages.


Hebdomadaire, 16 pages de format 22 x 31


Sous le titre « Rosita » est paru du 31 janvier 1913 au 30 juillet 1914 une traduction française du roman « Waldröschen » de Karl May. Le récit s’est arrêté au bout des 817 premières pages de l’édition Münchmeyer qui en compte 2612, certainement en raison du début de la première guerre mondiale. Il est à noter que le nom de Karl May n’est pas mentionné car il a été publié en Allemagne sous le pseudonyme « Capitain Ramon Diaz de la Escosura ».

L'inédit n°114

Rosita - Troisième partie - II. - L'enfant prodigue (suite)


N° 114 - 16 juillet 1914 - Aministration : 3, rue de Rocroy Paris - 16 pages.


Hebdomadaire, 16 pages de format 22 x 31


Sous le titre « Rosita » est paru du 31 janvier 1913 au 30 juillet 1914 une traduction française du roman « Waldröschen » de Karl May. Le récit s’est arrêté au bout des 817 premières pages de l’édition Münchmeyer qui en compte 2612, certainement en raison du début de la première guerre mondiale. Il est à noter que le nom de Karl May n’est pas mentionné car il a été publié en Allemagne sous le pseudonyme « Capitain Ramon Diaz de la Escosura ».

L'inédit
cette revue hebdomadaire publiait surtout des romans populaires et des dessins humoristiques.
Rosita,
une traduction du roman « Waldröschen » de Karl May, est paru dans l’inédit du n°37 au n° 116 (du 23 janvier 1913 au 30 juillet 1914) soit au total dans 79 numéros.

L'inédit n°44

L'inédit n°70

L'inédit n°114

Journal de Mickey

L'Autorité (1904)

 

 

 

 

Le journal de Mickey


Parution : 21 octobre 1934 - 8 pages. L'exemplaire est un fac-similé en supplément du n° 2500 du journal de Mickey


Winnetou, l'homme de la prairie


Le numero 1 du journal de Mickey paraît le 21 octobre 1934. Il a 8 pages dans un format 28,5 sur 42 cm. Il est vendu 30 centimes. La moitié des pages est en couleurs. On trouve des BD de Disney sur la couverture avec une Silly Symphony et Mickey, Jim la jungle, des gags de Russel et Hoban et le début des malheurs de la petite Annie. Dans l'année paraissent les numéros 1 à 11 dans la même présentation.
Romans et nouvelles publiés dans l’année : La Main qui frappe, à suivre à partir du numéro 1

 

les aventures du docteur Karl May


L'Autorité : du 20 février au 29 juillet 1904 (160 épisodes)


L'Autorité


En 1904, le journal « L’Autorité » avait publié pour ses lecteurs le roman « Les aventures du docteur Karl May » sous forme de feuilletons du 20 février au 29 juillet 1904 (160 épisodes). Ce roman, adapté par M. Capsius, est une traduction très abrégée du récit en trois parties de « Satan et Iscariote » de Karl May (GR20-Die Felsen Burg [pages 5 à 172], GR21-Krüger Bey [pages 173 à 343] et GR22-Satan und Ischariot [pages 344 à 499]).
L’ensemble du texte de l'Autorité compte plus de 500 pages.
L'Autorité Les principales erreurs typographiques, les oublis de mots ou de particules et les fautes d’orthographe ont été corrigés autant que possible.
Des illustrations de Věnceslav Černý, Claus Bergen et Zdenek Burian qui ne figurent pas dans le texte original du journal « L’Autorité » ainsi que quelques annexes ont été ajoutées.
Ce qui est intéressant, c’est que les trois héros principaux de Karl May y figurent : Winnetou, Old Shatterhand et Kara Ben Nemsi. Le récit s’articule principalement autour de la poursuite de la famille Melton qui tente d'usurper un héritage. La traque entraînera les héros à travers différents continents.
Le temps consacré à ce travail s’élève à environ 150 heures. Le document pèse 12,4 Mo.

Première parution dans l'Autorité le 20 février 1904 (voir page 2).

Titre


N° éditeur : - N° imprimeur : - Dépôt légal : - pages.


Résumé

Titre


N° éditeur : - N° imprimeur : - Dépôt légal : - pages.


Résumé

Titre


N° éditeur : - N° imprimeur : - Dépôt légal : - pages.


Résumé

Le journal de Mickey N°1 - 1934

Les aventures du docteur Karl May

     

Les bandes dessinées

Winnetou l'homme de la prairie - T1

Winnetou l'homme de la prairie - T1


Scénario et dessins de Juan Arranz - 1965.


 

Winnetou l'homme de la prairie - T2

Winnetou l'homme de la prairie - T2


Scénario et dessins de Juan Arranz - 1965.


Le bruit assourdissant d’un coup de feu déchire le silence. Santer, qui a déjà assassiné le père et la soeur de Winnetou, veut, cette fois, tuer Winnetou lui-même. Santer est un gredin sans scrupules. Il a excité les Kiowas contre les Apaches et les blancs. Sam Hawkens, le vieux chasseur de prairie flegmatique, celui qui a initié Old Shatterhand à la vie des grands espaces, est tombé aux mains de la tribu hostile des Kiowas. S’il n’est pas vite libéré, il mourra.
Le soir de la capture de Sam, Old Shatterhand a mis hors de combat, d’un coup de son poing puissant, un espion des Kiowas et en allant vers le camp des Kiowas pour voir ce qu’il peut faire pour le vieux Sam, il capture Pida, le fils du chef des Kiowas. Avec Winnetou et le jeune garçon, Old Shatterhand traverse le fleuve. Soudain ils voient Santer passer dans un canot.

Old Shatterhand et Winnetou - T1

Old Shatterhand et Winnetou - T1


Scénario et dessins de Juan Arranz - 1966.


 

Old Shatterhand et Winnetou - T2

Old Shatterhand et Winnetou - T2


Scénario et dessins de Juan Arranz - 1967.


Aidés par des Indiens de la tribu des Ogellallahs, vingt-trois Blancs ont attaqué un train et en ont assassiné tous les passagers. Old Shatterhand et le policier Walker suivent la piste des malfaiteurs. En chemin ils rencontrent Winnetou, le grand chef des Apaches. Winnetou se joint aux deux Blancs. Pendant des heures ils galopent à travers une région aride et atteignent enfin le camp des Ogellallahs, qu'ont ralliés les bandits blancs. Les trois poursuivants attendent que la nuit tombe. Alors Old Shatterhand et Winnetou rampent vers le camp pour découvrir quelles sont les intentions des Ogellallahs et de la bande de Blancs. Old Shatterhand réussit à approcher de si près le feu de camp qu'il comprend, mot pour mot, Haller, le chef des Blancs. Il entend que les bandits ont l'intention d'attaquer le fort d'Echo-Canyon. La plus grande partie de la garnison qui y est installée est partie à la recherche des auteurs de l'attaque du train. Le fort est pour ainsi dire sans surveillance. Quand Old Shatterhand en sait assez, il revient sur ses traces et fait entendre le coassement d'un crapaud. C'est le signe convenu pour rappeler Winnetou.

Llano Estacado

Llano Estacado


Scénario et dessins de Juan Arranz - 1968.


Winnetou l'homme de la prairie - T1

Winnetou l'homme de la prairie - T2

Old Shatterhand et Winnetou - T1

Old Shatterhand et Winnetou - T2

Llano Estacado

Winnetou l'homme de la prairie - T1

Winnetou le grand chef


Dessin: Hugh Conelly - 1947 - Album broché de 32 pages - Edition n° 344/47


Planche de la BD Winnetou le grand chef

Winnetou l'homme de la prairie - T2

Old Shatterhand Détective


Dessin: Hugh Conelly - 1948.


 

La caravane des esclaves

La caravane des esclaves


Dessin: probablement de Hugh Conelly. Date parution non mentionnée.


Planche de la BD La caravane des esclaves


 

 


 


 

 


 


Winnetou le grand chef

Old Shatterhand Détective

La caravane des esclaves

 

 


Ces bandes dessinées suivent parfaitement la trame des romans de Karl May.
Elles en sont un parfait résumé.


Albums d'images à coller

Karl l'Intrépide

Karl l'Intrépide - album 1


Karl l'Intrépide - Voyages et aventures (Album d'images à collectionner avec des motifs Karl May) - Chewing-gum Bull.
Impressions & Cartonnages Ste-Anne, Marseille (années 1950).
Illustrations : 120 images à collectionner en couleur de Carl Lindeberg et d'autres dessinateurs


Pour plus d'information sur l'album : Mr-Malabar


Karl l'Intrépide

Karl l'Intrépide

Illustrations : 120 images à collectionner en couleur de Carl Lindeberg et d'autres dessinateurs
Album 1, Série 1-20, 42 pages.

Karl l'Intrépide

Karl l'Intrépide - album 2


Karl l'Intrépide - Voyages et aventures (Album d'images à collectionner avec des motifs Karl May) - Eilebrecht.
Cet album n’existe pas en français. Il avait pourtant été annoncé par les chewing-gums Bull en 1952, mais n’a jamais été traduit.
Pour l’album allemand « Kaugummy Bull », 30 séries de vignettes étaient prévues, mais seules les 20 premières ont été livrées. L’autre partie a été complétée avec des images presque identiques de l’album Eilebrecht. L’album contient 180 images au format 10,3 x 7 cm. Contrairement au premier volume, le deuxième est une rareté.
Afin de mettre à la disposition des lecteurs l’album n° 2, winnetou.fr a traduit les textes et adapté les images de l’album allemand « Eilebrecht Cigaretten – und Rauchtabakfabriken » de 1952. Ce fascicule a été réalisé à partir de l’album digitalisé « Eilebrecht » qui se trouve sur le site de la Badische Landesbibliothek (Bibliothèque du Land de Bade) et des vignettes disponibles sur le site de Christoph Roos.
Je remercie également Alexander Brandt pour son aide et la mise à disposition de documents.


Karl l'Intrépide

Karl l'Intrépide

Illustrations : 180 images à collectionner en couleur de Carl Lindeberg et d'autres dessinateurs
Album 2, Série 21-50, 62 pages.

 


 


 

 


 


 

 


 


 .


 

Karl l'Intrépide
Album 1

Karl l'Intrépide
Album 2


Autour des films

Winnetou, le mescalero

Winnetou le mescalero


ISBN : 2-08-091506-1 - Dépôt légal : 1980 - 157 pages.
Editions du chat perché - Flammarion


Photographies extraites du feuilleton télévisé
Adaptation de Jean-Claude DERET

Pour plus d'information sur la série : Planete-jeunesse.com


Winnetou le mescaleroWinnetou est un apache civilisé qui a perdu son père et sa soeur, abattus par les blancs.
Il vit ainsi avec ce terrible poids et parcourt les plaines en quête de justice. C'est ainsi qu'il porte un beau jour secours à ses frères indiens, malmenés par la bande de Sammy Cook, mais dans la bataille, Petit Ours et son grand-père Vieil Ours sont lâchement tués, et Winnetou gravement blessé. Il est secouru in extremis par le photographe français Napoléon Charbonneau qui le confie à Old Shatterhand, un européen qui vit au milieu des indiens et est aussi le plus fidèle ami de Winnetou, depuis qu'ils se sont unis comme frères par des liens de sang.
Winnetou, remis sur pieds, repart sur les routes. Il rencontre un commanche avec qui il se lie d'amitié, Tashunko, et affronte une multitude de dangers qui ne manqueront pas d'attiser la haine qui persiste entre les peaux-rouges et les blancs. Toutefois, notre héros pourra compter sur les nombreux amis qu'il a pu se faire au cours de ses chevauchées... Old Shatterhand bien sûr, ou encore Sam Hawkins...

Guet-apens à silver lake

Guet-apens à Silver Lake


STAR-CINE AVENTURES - Numéro 145 du 11 juin 1964 - 67 pages.
Editeur IN. GRA. B.E. S.p.A.


Photographies extraites du film « Le trésor du lac d’argent » - 1962 (Der Schatz im Silbersee)

 


Guet-apens à Silver LakeStar-ciné Aventures diffusait chaque mois un ciné-roman complet. A raison de 4 à 6 vignettes-photos en noir et blanc par page, ce magazine racontait l'histoire d'un western.
Au format 19x26 cm, Star Ciné Aventures était à parution bimensuelle jusqu'en 1965 où la collection devenait mensuelle.

L'homme au long fusil

L'homme au long fusil


STAR-CINE AVENTURES - Numéro 232 - janvier 1971 - 66 pages.
Editeur : EDISTAR s.R.L. - Dépot légal : n. 34.571


Photographies extraites du film « Le Trésor de la vallée de la mort » - 1968 (Winnetou und Shatterhand im Tal der Toten)

 


L'homme au long fusilStar-ciné Aventures diffusait chaque mois un ciné-roman complet. A raison de 4 à 6 vignettes-photos en noir et blanc par page, ce magazine racontait l'histoire d'un western.
Au format 19x26 cm, Star Ciné Aventures était à parution bimensuelle jusqu'en 1965 où la collection devenait mensuelle.

 


 


 .


 

 


 


 .


 

Winnetou le mescalero

Guet-apens
à Silver Lake

L'homme au
long fusil


Bibliographie chronologique des traductions des œuvres de Karl May.              (cliquer ici)

BIBLIOGRAPHIE DES ŒUVRES DE KARL MAY EN FRANCE

Cette bibliographie chronologique des traductions des œuvres de Karl May en France est établie à partir du travail de Christoph Blau et Ulrich von Thüna, « Karl May in Frankreich » publié dans le bulletin n°133 du « Karl-May-Gesellschaft », 2006.

Traductions de J. de Rochay (1) :

Durch die Wüste (cycle ottoman)
Carl May, Une aventure en Tunisie [Durch die Wüste]
- dans Le Monde, n° 268-276, 12 au 21-22 novembre 1881, 9 ép.
- dans La Vigie du Havre, n°1-7, 1er -8 juillet 1882.
- dans Karl May, Les Pirates de la Mer Rouge. Tours, Alfred Mame et fils, 1884.
Carl May, Une aventure sur les bords du Nil. Souvenirs de voyage [Durch die Wüste, suite]
- dans Le Monde, n° 278-289, 24 novembre au 5 décembre 1881, 12 ép.
- dans Karl May, Les Pirates de la Mer Rouge. Tours, Alfred Mame et fils, 1884.
Carl May, Les Pirates de la Mer Rouge. Souvenirs de voyage [Durch die Wüste, suite]
- dans Le Monde, n° 292, 12 décembre 1881 au n°2, 2-3 janvier 1882, 18 ép.
- Karl May, Les Pirates de la Mer Rouge. Tours, Alfred Mame et fils, 1884, ill. Gustave Fraipont.
- Tours, Alfred Mame et fils, 1944, ill. Albert Uriet [à suivre dans le suivant].
- Un paladin du désert. Tours, Alfred Mame et fils, 1944, ill. Albert Uriet.
Carl May, Une bataille au désert. Souvenirs de voyage [Durch die Wüste, suite]
- dans Le Monde, n° 10-39, 12 janvier au 15 février 1882, 26 ép.
- dans Karl May, Les Pirates de la Mer Rouge. Tours, Alfred Mame et fils, 1884.
Carl May, Une visite au pays du Diable. Souvenirs de voyage [Durch die Wüste / Durch wilde Kurdistan]
- dans Le Monde, n° 41-81, 17 février au 5 avril 1882, 32 ép.
- Karl May, Une visite au pays du Diable. Tours, Alfred Mame et fils, 1885, ill. Tofani.
- Tours, Alfred Mame et fils, 1943, ill. Roger Broders.
- Karl May, Les Geôliers du Grand-Seigneur (Durch wilde Kurdistan). Tours, Alfred Mame et fils, 1943, ill. Roger Broders (suite du précédent).
Karl May, Le Prisonnier d’Amadijah. Souvenirs de voyage [Durch wilde Kurdistan]
- dans Le Monde, n° 115-152, 14 mai au 28 juin 1882, 32 ép.
- dans Karl May, Une visite au pays du Diable. Tours, Alfred Mame et fils, 1885.
Karl May, L'Esprit de la caverne. Souvenirs de voyage [Durch wilde Kurdistan]
- dans Le Monde, n° 158-192, 6 juillet au 16-17 août 1882.
- dans La Caravane de la mort. Tours, Alfred Mame et fils, 1885, 32 ép.
Karl May, La Caravane de la mort. Souvenirs de voyage [Von Bagdad nach Stambul]
- dans Le Monde, n° 270, 17 nov. 1882 au n°21, 25 janvier 1883, 46 ép.
- Tours, Alfred Mame et fils, 1885, ill. Henri Meyer.
- Tours, Alfred Mame et fils, 1943, ill. R. Broders. A suivre dans La Voix de la caverne, id
Karl May, Damas et Baalbek. Souvenirs de voyage [Von Bagdad nach Stambul]
- dans Le Monde, n° 28-46, 2 au 23 février 1883, 13 ép.
- dans Une maison mystérieuse à Stamboul. Tours, Alfred Mame et fils, 1886.
Karl May, Une maison mystérieuse à Stamboul [Von Bagdad nach Stambul]
- dans Le Monde, n° 89-103, 14 avril au 30 avril-1er mai 1883, 13 ép. [A suivre, pour le dernier tiers de l’épisode dans le volume Mame]
- Tours, Alfred Mame et fils, 1886, ill. Meyer, Gervais, Lix et Gérardin.
- Tours, Alfred Mame et fils, 1943, ill. Albert Uriet. A suivre dans Un bandit insaisissable (Von Bagdad nach Stambul).Tours, Mame, 1944, ill. A. Uriet.
Karl May, Poussière fatale [« Sans-ear-Episode » extrait de Winnetou III = Deadly Dust]
- dans Le Monde, n° 129-187, 1er juin au 8 août 1883, 49 ép.
- dans La France chrétienne, n°1-66, 1er juin-16 août 1883.
- sous le titre La Vengeance du farmer. Tours, Alfred Mame et fils, 1884.
Karl May, Le Brelan américain [Kanada-Bill = Three carde monte]
- dans Le Tirailleur, n° 161-170, 7 au 17-18 décembre 1883.
- dans Le Monde, n° 306, 28 décembre 1883 au n°6, 9 janvier 1884, 10 ép.
- avec Le Roi des requins et L’Anaïa du brigand. Tours, A. Mame et fils, 1887.
- avec Le Roi des requins. Tours, Alfred Mame et fils, 1930.
Karl May, L’Anaïa du brigand [Die Gum]
- dans Le Monde, n° 94-126, 20 avril au 22 mai 1884, 20 ép.
- avec Le Roi des requins et Le brelan américain. Tours, A. Mame et fils, 1887.
Karl May, LaVengeance du farmer. Souvenirs d’Amérique ( Winnetou III)
- Tours, Alfred Mame et fils, 1884, ill. F. Lix.
Karl May, Le Roi des requins, suivi de Le Brelan américain et de L’Anaïa du brigand (Kanada-Bill, Der Ehri, Die Gum)
- Tours, Alfred Mame et fils, 1887, ill. Férat et Mouchot.

Autres traductions :

Karl May, L’Empire du Dragon (Der Kiang-Iu). Retraduit en 1926 sous le titre Au gré de la tourmente.
- Paris, Delhomme et Briquet, 1892.
Karl May, Le fils du chasseur d’ours (Der Sohn des Bärenjägers). Trad. Elisabeth Loisel
- Paris, Delhomme et Briquet, 1892.
Karl May, Les Aventures du Docteur Karl May [Satan und Ischariot]. Adapt. M. Capsius [texte écourté]
- dans L’Autorité, n°52-211, 20 février au 29 juillet 1904, 159 ép.
Karl May, Rosita [Waldröschen]
- dans L’Inédit, n°37-l 16, 23 janvier 1913 au 30 juillet 1914.
Karl May, Le Corsaire [Texte tiré de Robert Surcouf]. Trad. François Parny
- Karl May Verlag, Radebeul, 1917 [Traduit pour les prisonniers français]. Jean Aleyrac, Le Trésor du lac d’argent (Der Schatz im Silbersee) [noms francisés]
- dans L’Intrépide, n°372-426, 7 octobre 1917 au 20 octobre 1918, ill. Janko.
- Paris, Offenstadt, « Collection d’aventures », n°350-354 [5 volumes : Le Trésor du lac d’argent, Dans la prairie houleuse, La grande main de feu. Le canon nocturne, La vallée des cerfs]. (2)
Karl May, Au gré de la tourmente (Der Ehri / Der Kiang-Iu)
- Tours, Alfred Mame et fils, 1925. Illustré par Albert Robida
Karl May, Fauves et bandits (Christus oder Muhamme / Der Krumir). Trad. A. Canaux
- Tours, Alfred Mame et fils, 1926, ill. Maîtrejean.
Karl May, Surcouf le corsaire (Robert Surcouf) Trad. A. Canaux
- Tours, Alfred Mame et fils, 1927, ill. Maîtrejean.
Karl May, L’Or fatal (Das Vermächtnis des Inka). Trad. A. Canaux [les noms des personnages sont francisés]
- Tours, Alfred Mame et fils, 1929, ill. Maîtrejean.
Karl May, Les Vautours de la Savane (Der Sohn des Bärenjägers = Unter Geiern). Trad. A. Canaux [les noms des personnages sont francisés]
- Tours, Alfred Mame et fils, 1932, ill. Maîtrejean.
- dans Le Journal de Spirou, Charleroi, n° 14-48, 6 avril au 1er décembre 1939, ill. Frans van Immerseel.
Charles May, La Caravane d’esclaves, récit soudanais (Die Sklavenkarawane). - Paris, Flammarion, [novembre] 1933, ill. Marguerite Fiora.
- Charles May, La Caravane d’esclaves, dans Le Journal de Mickey, n°01, 1er juin 1934, ill. Fiora (numéro d’essai, sans suite).
Charles May, Le Justicier (Der Boer van het Roer).
- Paris, Flammarion, [novembre] 1933, ill. M. Fiora.
Charles May, Winnetou l’homme de la prairie (Winnetou I, partie 1)
- Paris, Flammarion, [novembre] 1933, ill. Marguerite Fiora; rééd. 1944 et 1948, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 avec le suivant; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Charles May, Le Trésor des Montagnes rocheuses (Winnetou I, partie 2)
- Paris, Flammarion, [janvier] 1934, ill. Marguerite Fiora; rééd. 1944 et 1948, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 avec le précédent; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Karl May, Le Mystérieux forban (Kapitän Kaiman). Trad. A. Canaux
- Tours, Alfred Mame et fils, 1934, ill. Maîtrejean.
Charles May, La Chasse aux négriers (Die Sklavenkarawane)
- Paris, Flammarion, 1934, ill. M. Fiora. [Suite de La Caravane d'esclaves]
Charles May, La Trahison des Comanches (Winnetou II, partie 1)
- Paris, Flammarion, 1934, ill. Marguerite Fiora; rééd. 1944 et 1948, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 avec le suivant; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Charles May, Dans la forteresse des trappeurs (Winnetou II, partie 2)
- Paris, Flammarion, 1934, ill. Marguerite Fiora; rééd. 1947, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 avec le précédent; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Charles May, La Main qui frappe [« Sans-ear-Episode » extrait de Winnetou III].
- dans Le Journal de Mickey, n°1-22, 21 octobre 1934 au 17 mars 1935, ill. Fiora.
- repris dans La Main qui frappe. Paris, Ernest Flammarion, 1935, ilL Marguerite Fiora; rééd. 1947, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 et 1973 avec La Poussière de la mort, Les Pirates du rail et Le Testament de Winnetou ; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Charles May, A travers le désert (Durch die Wüste)
- Paris, Flammarion, [octobre] 1934, ill. Fiora.
- dans Bravo, Bruxelles, n°33-52, 13 août au 24 décembre 1941.
Charles May, Les Aventuriers de la Mecque (Durch die Wüste)
- Paris, Flammarion, 1934, ill. Roger Pérot.
Charles May, Les Adorateurs du diable (Durch die Wüste)
- Paris, Flammarion, 1935, ill. Fiora.
Charles May, La Main qui frappe (Winnetou III, partie 1)
- Paris, Flammarion, 1935, ill. Marguerite Fiora; rééd. 1947, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 et 1973 avec La Poussière de la mort, Les Pirates du rail et Le Testament de Winnetou; rééd. 1980, Bibliothèque du Chat perché, ill. Grégoire Zbroszczyk.
Charles May, Le Trésor des Incas (Das Vermächtnis des Inka).
- Paris, Flammarion, [décembre] 1937, ill. E. Schoner.
Charles May, La Poussière de la mort (Winnetou III, partie 2)
- Paris, Flammarion, 1948, ill. Pierre Noël; rééd. 1962 et 1973 avec La Poussière de la mort, Les Pirates du rail et Le Testament de Winnetou
Charles May, Les Pirates de rail (Winnetou III, partie 3)
- Paris, Flammarion, 1948, ill. Pierre Noël.
Charles May, Le Testament de Winnetou (Winnetou III, partie 4)
- Paris, Flammarion, 1948, ill. Pierre Noël.
Karl May, L'Anaïa du brigand (Die Gum). Trad. J. de Rochay
- Lausanne, Ed. Rencontre, 1953 (avec Le Roi des requins), ill. Rose-Marie Eggmann
Charles May, Winnetou l'homme de la prairie (Winnetou I et Winnetou II).
- Paris, Flammarion, 1962.
Charles May, La Main qui frappe et Winnetou ( Winnetou III)
- Paris, Flammarion, 1962.
Mayne Reid (3), Le Roi des Apaches ( Winnetou I).
- Paris, Baudelaire, 1962, ill. Zucca. Autre version aux Editions Bel-Air, 1964.
Charles May, Le Trésor du lac d’argent (.Der Schatz im Silbersee)
- Paris, Flammarion, 1963.
Charles May, Main-sûre l’infaillible « Surehand» (Old Surehand I)
- Paris, Flammarion, 1964.
Charles May, Les Bannis du désert (Durch die Wüste). Trad. Michèle Misan
- Paris, ODEJ, 1964, ill. Henri Dimpre.
Charles May, Le Secret de Old Surehand (Old Surehand II et III)
- Paris, Flammarion, 1965.

Divers livres et albums pour la jeunesse aux éditions Hemma (1967, 1972, ill. Okley), Hachette (1973), Gründ (1980, 1984), etc.

Notes :

(1) Juliette de RochayJ. de Rochay est le pseudonyme de Marie-Juliette de Charoy (1840-1898). Ayant découvert les récits de Karl May, elle en a traduit un bon nombre d’abord dans Le Monde, puis chez Mame. Précisons que Le Monde est un quotidien français fondé en 1860 et disparu en 1896. Créé à Paris par le propriétaire de L’Univers, qui avait été supprimé par décret le 29 janvier 1860. Celui-ci racheta La Voix de la vérité pour en faire Le Monde dont le premier numéro fut publié le 18 février 1860. Du 5 avril au 6 juin 1871, le titre fut édité à Versailles. A partir de 1867, L’Univers fut autorisé à reparaître et absorba Le Monde en juillet 1896. Le quotidien disparut donc le 27 juillet 1896. Le titre a été repris en 1944 par le quotidien Le Monde.

(2) D’autres titres sont parus dans cette collection sous la signature de Jean Aleyrac, mais ne sont pas des romans de Karl May.
(3) Oui, vous avez bien lu : un roman de Karl May a été publié en France sous le nom de Mayne Reid...

Source : Le Rocambole n° 63

Couverture Le RocamboleWinnetou.fr vous recommande la lecture de l'excellent numéro 63 de « Le Rocambole » qui rend hommage à cet écrivain, parmi les plus imaginatifs et les plus populaires, qui sait mieux que personne mêler l'imaginaire au réel.
Sous le titre « L'aventure selon Karl May » les auteurs nous font découvrir toutes les facettes du talent et de l'oeuvre de Karl May.


  Retour haut de page

Dernière mise à jour : 26/11/2024